Control Policy, Insane politics, State Crime : Big Lies, Compulsive Liars and Classified files...

C'est toujours la fête à Mr Trump, mais pas que. Le retour du débat (au moins deux points vue pouvant s'exprimer), de la libre parole c'est-à-dire d'une parole responsable, entraîne à une clarté - un tri -, à une sélection naturelle pour autant qu'elle est humaine avec ce que l'intelligence sensible (pas robotique) éprouve au contact d'une réalité POLITIQUE problématique : question de santé, physiologique et mentale. Après une récupération déontologique du côté des médecins et des chercheurs (le Dr Geert Vanden Bosscho [Epoch.tv, 19 mai 2022] est tout aussi vent debout que le Dr Robert Malone), c'est du côté des journalistes que cela a lieu ; une vedette de Fox News est actuellement fêtée (par exemple, par The Damage Report le 19 mai : "Tucker Carlson is Key Source For Journalists", et "Tucker Carlson OUTED After Snitching On Trump"), histoire de rappeler que la VIOLENCE passe aussi par le CONTENU quand il est délibérément faux, mensonger et que la FORME relève non pas du DISCOURS mais de la COMMUNICATION c'est-à-dire du quasi vide informationnel, contrairement à la PROPAGANDE qui dit quelque chose mais qui est seule à dire puisque tout le reste est censuré ou interdit (parfois au prix de menaces quand la volonté de s'exprimer est forte) ; et nous sommes en train de sortir de la Censure, de démêler les fils d'une CONSPIRATION sans pareille.

Avec cette histoire de Conspiration monumentale (a huge conspiracy), quelque chose de gros mais alors de très gros comme un vilain nez au milieu d'une figure, le bestiaire avec ses figures est utile ; il nous avait déjà servi pour conceptualiser la bêtise (stupidity); à croire un peu plus que cette conspiration a tout l'air d'avoir été montée par des imbéciles (et les covidiens, anti-kennedyens, n'inventent rien; ils pompent, plagient, imitent, ne singent qu'eux-mêmes). On nous a sorti hier une grippe aviaire qui reprendrait de plus belle (des poules, ne jamais oublier le coq); aujourd'hui 20 mai 2022, il s'agit (Source : Le Courrier des Stratèges) d'une variole du singe. On voudrait nous amuser qu'on ne jouerait pas autrement ; sauf que cela ne parle que pour ceux qui sont à l'origine de cette diffusion et à ce propos, la diffusion (un bruit se répand, une info dont on ne sait si elle est vraie ou fausse; du commérage, de la rumeur etc.) a quelque chose de synonymique avec la réputation. Et là, on est servi. En effet, le journaliste Carlson (décrédibilisé) a volé la vedette (et quelle vedette ! Un vrai bateau; enfin bon, on démonte on démonte : pièce par pièce) à l'homme d'affaires Elon Musk dont voici le mot (cité par The Reuters Daily Briefing d'aujourd'hui) de défense puisqu'il est accusé de harcèlement sexuel : "The attacks against me should be viewed through a political lens". Que se passe-t-il donc ? Voudrait-on salir sa réputation ? Peu importe, ce qui compte c'est que sa REPUTATION est mise en jeu (là on voit bien). Or, on ne salit (sens actif) que quand on est sale : l'auteur de cette diffusion l'est peut-être; ou alors (et ce n'est pas exclusif), on ne touche à la réputation de quelqu'un que quand on craint pour la sienne : qui a peur de ce repreneur de Twit