Quand on parle de "Conspiration sans précédent", "inédite ou inouië", de quelque chose d' "énorme" - a Huge Conspiracy -, et quand c'est un à jamais plus Président d'Etats-Unis d'Amérique (un Ex for ever qui peut chanter sur tous les toits, il chante faux - mal) qui est épinglé comme un vulgaire insecte sur écrans, il paraît évident - il paraît, cela va être soon - que cette CONSPIRATION est INTERNATIONALE (un Chef d'Etat tel celui des USA en a les moyens et pas seulement anciens, utilisés depuis longtemps même s'ils sont usés, mais aussi réactualisés; il en a - surtout s'il fait patte blanche auprès de QUI les lui donne, "on a beau pisser après les murs!" - le pouvoir sous condition ...) c'est-à-dire que ce pour quoi (mais pas que) Donald TRUMP (et son staff et ses maîtres, ses collaborateurs et des émissaires de tous poils) est visé par la JUSTICE étatsunienne peut également valoir par la justice D'AUTRES PAYS où opère ce type de conspiration et notamment d'ESPIONNAGE (policière); il peut même être inculpé non seulement par DES JUSTICES NATIONALES (là où est commis tout attentat ou atteinte - physique, psychologique, etc. - au droit individuel [public comme privé], sur un sol national où il y a victime et/ou objet de tels pouvoirs par exemple et par définition illégaux dans ces pays-là etc etc.) mais il peut l'être aussi par une JUSTICE INTERNATIONALE dans le cas mondial (et non pas global et encore moins globaliste des inventeurs de rien du tout, privés de toute imagination, vous ne trouverez pas d'artistes, des vrais, chez eux) du tristement fameux (qui ne gagne pas à être connu) Coronavirus dit COVID19 c'est-à-dire son nom de code ou d'opération.

Vous voyez le Tableau ? Hein ? Non ? Visez bien, relevez la tête. Vous avisez ? 

En ce moment, les USA sont en proie aux démons d'une poignée sectaire; en ce moment, le Parti des Républicains est mis à mal et quelquefois pris à partie. En ce moment, we are all THE US (et plus Charlie).

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"The Last Word", une émission de MSNBC, dont le présentateur a l'art de la formule comme de l'écoute, titrait le 27 mai dernier : "It's time to die". Non pas pour acquiescer, mais pour répéter et bien faire entendre au peuple, aux citoyens, l'injonction folle valant même après le massacre texan, valant comme normalisation de la violence assassine, et parlant ainsi de weapon of mass destruction. Bien sûr que la fin des Temps (leurs prédictions de dingues, de camés) n'est pas (a fortiori qu'elle n'est pas arrivée) ni qu'il est fatal de mourir (avant l'heure c'est plus l'heure... ) comme si personn