

Le soir du jour de fête
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Le soir du jour de fête
Une autre nuit blanche peut-être.
Comme la lune dont les rayons percent les travers d'un rideau sombre.
Il pense à ce muscle qui est apparu depuis, et à cette lente et grasse matinée sans personne à l’étage. Et à l’ennui que cette douceur avait fait naître.
Il pense à sortir dans cette ville froide et pierreuse où les clochers l’appellent. Mais aux coins de rues médiévales c’est à la nature qu’il en veut. S’enfuir. Disparaître. Cela l’a beaucoup travaillé. Surtout les matins de brume, quand l’hiver froid perle sur les feuilles presque gelées. Ou parfois les soirs d’orages – s’enfuir, s’enfuir dans l’ombre des rues qui ruissellent.
Et le soir il se regarde longtemps au miroir, tout nu, ou juste en chaussettes. Il pense à ce Jardin imparfait où toutes les plantes avaient une légère


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