

L'orage de banlieue
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L'orage de banlieue
J’ai un souvenir vivace de ce texte. J’étais au sous-sol de la maison (aménagé en pièce à vivre), à Toronto, bien au chaud. Il était minuit passé quand un de ces violents orages printaniers s’est subitement abattu, très proche. Je l’ai observé quelques instants par les petits vasistas et j’ai commencé à écrire...
[Le citadin]
Le tonnerre gronde dans le lointain.
Je referme la fenêtre et ne pense à rien.
Je suis au chaud, bien à l’abri.
C’est pas comme si je risquais ma vie.
Il y a des choses qu’il faut savoir,
des trucs connus dans les terroirs.
C’est quoi déjà qu’on m’a appris ?
Sur les orages et sur la pluie ?
Faut pas courir dans les clairières,
par peur d’être foudroyé d’un éclair.
Et s’abriter sous un sapin ?
Non, je crois que c’est pas très


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