Dégueulasse
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Dégueulasse
1960. J’aurais aimé vivre à cette époque. La jeune fille vend le Herald Tribune sur les Champs Élysées, le couple se languit sur un lit dans ce qui ressemble à une chambre de bonne. Godard est mort, il est à bout de souffle, dégueulasse, c’est quoi dégueulasse ?
À la question, quelle est votre ambition ? Toujours dans ce même film, Jean-Pierre Melville, jouant le rôle d’un écrivain interviewé, réponds, devenir immortel, puis ajoute après une courte pause, et mourir. Je ne sais pas pourquoi, j’ai regardé ce film pour la énième fois, il accompagne ma vie depuis toujours et contrairement à moi, ne prends jamais une ride. Je ne suis pas un admiratif de Godard, hormis quelques films cultes, je ne lui voue aucun fanatisme, ni dévotion cinéphile. La mort d’un homme ne prête jamais à rire, ni à critique, quant aux controverses, le jugement dernier est réservé aux dieux.
C’est ma première nuit sur les toits du numéro cinq, j’ai installé un ma
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Journal d'une évaporation
de
Hervé Fuchs
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