https://bard.google.com/chat/0c4d52892960120?hl=fr

A la question posée à bard : "L'union fait la force ?"

Sa réponse : {{{Le proverbe "L'union fait la force" signifie qu'un groupe de personnes qui travaillent ensemble est plus fort qu'une personne seule. Cette expression est souvent utilisée pour souligner l'importance de la coopération et de l'entraide}}} (sic)...

A la question telle que posée: "L'union fêle à force ?"

-IA : {{{L'expression "L'union fêle à force" est une variante du proverbe "L'union fait la force". Elle signifie que l'union, si elle est forcée, est vouée à l'échec }}}(sic)...

Le constat est clair. Si la réponse à la 1ère question ne peut qu'être exacte du seul fait de l'implémentation de dictionnaires dans les bases de données ; il en est tout autre pour la seconde question qui fait appel plus à la réflexion posée par l'homophonie qu'à la simple restitution. Ainsi l'usage d'une même sonorité dans l'assemblage des  mots "fait la " avec "fèle à", aura t'il généré, à partir d'une simple différence d'écriture menant à une autre compréhension, une autre réflexion d'un intellect artificiel (l'anagramme de "il rectifia"), suscitant une autre interprétation intelligente de la question liminaire : in-fine celle que l'outil délivrera...

De l'intellect à l'esprit il n'y a qu'un pas, de l'esprit à l'humour le même ; il devient ainsi évident que l'IA saurait faire de l'humour, là où tant d'esprits éveillés auront échoué. A l'outil de le forger en présentation d'autres piques !

Et c'est là que l'IA pourrait s'avèrer prodigieuse !

Concrètement, il devient invraisemblablement sidérant que l'outil n'ait pu aller chercher sa réponse parmi ses tablettes. Ma certitude nouvelle est confortée par le fait que ce faux proverbe de "l'union fête à force" n'ait pu être intégré aux bases de données de l'outil ; au seul fait que ce jeu-de-mots comme son opposition à son homophonie sont de ma propre conception, sa date de dépôt au titre des droits d'auteurs sachant le prouver. Mais fi de cette futile paternité d'auteur, ainsi l'IA réfléchirait, appréhenderait l'interpénétration des mots et des sons et saurait tirer une aussi sensible quintessence de sa réflexion ?

En tel cas, un début prometteur bien trop préjudiciable aux humoristes de toutes plumes !

L'IA, ah, ah, ah...