Petite note de lecture, au sujet de la publication Plaidoyer pour le prêt-à-penser de l'auteure panodysseyenne Jackie H .

Expérience de pensée [certainement pas arrivée toute prête], démonstration qui donne à penser [et là, rien n'était prêt en ce qui me concerne], ce plaidoyer m'a fait penser à un exercice de sociologie intuitive [auquel je n'étais pas préparé].

Intuitive, parce que cela ressemble à une pensée d'auteure ; pas une pensée déjà toute prête.

Je m'y suis reconnu à plusieurs reprises ; j'y ai reconnu d'autres personnes et aussi quelques entreprises, un peu prises au piège.

J'en conclus que ce n'est pas le prêt-à-penser qui me pose soucis ; ni les personnes qui s'en servent.

De même que ce ne sont pas les vêtements prêts à porter qui me chagrinent ni les personnes qui en ont besoin.

Ce qui me chagrine, ce sont les conditions de vies [artificielles] qui semblent rendre le prêt-à- nécessaire et nous incitent ainsi à éliminer tout ce qui n'est pas déjà prêt.

Cela me chagrine, notamment parce que ce nécessaire-là ne me semble pas suffisant.

C'est un drôle de plaidoyer, celui qui atteint son but et m'en éloigne un peu plus après m'avoir convaincu :-]