¡Felicidades! Tu apoyo al autor se ha enviado correctamente
La folie douce : Comme une danse étourdissante

La folie douce : Comme une danse étourdissante

Publicado el 9, jul., 2024 Actualizado 15, ago., 2024 Poetry and Songs
time 2 min
0
Me encanta
1
Solidaridad
0
Wow
thumb comentario
lecture leer
1
reacción

En Panodyssey, puedes leer hasta 30 publicaciones al mes sin iniciar sesión. Disfruta de 29 articles más para descubrir este mes.

Para obtener acceso ilimitado, inicia sesión o crea una cuenta haciendo clic a continuación, ¡es gratis! Inicar sesión

La folie douce : Comme une danse étourdissante

(lecture de mon poème par Jean-François Morlaes : https://panodyssey.com/fr/user/jean-francois-morlaes-qdpgv)

 

 

Pour la première fois de ma vie

et de la vie de ce poème qui commence dans mon esprit

 

je pense à incendier mes mots

qui deviennent des maux.

 

Ils ne t’amènent pas à moi, tu me fuis.

J’ai envie de te dire : « reste », mais ta fuite te suit et te conduit.

 

Elle est ton souffle, généreux,

tes mots que tu me laisses, avec ton cœur heureux.

 

Je te lis, comme je te regarde :

qui  doit prendre garde ?

Personne ou nous ?

 

Tu me fuis.

Je te suis.

 

Je te fuis.

Tu me suis.

 

Étrange jeu entre nous. Va-et-vient.

Nos cœurs, à l’unisson, tremblants,

seule certitude en moi, de notre sentiment.

 

J’attends ta présence, comme on quémande une pièce.

Je m’abandonne dans celle-ci, comme une chienne en laisse.

 

J’ai envie de me détester.

Tu me parles d’être dans le positif

et me laisses, le vif,

d’une réalité.

 

J’aimerais tes bras, juste pour leur douceur,

mais on dirait que tu prends peur

et que tu préfères me dire ton amour, dans le lointain.

Tu me dis, pourtant, « prends ma main ».

 

J’ai un cri en gorge qui ne sortira peut-être jamais.

Je le repousse de larmes silencieuses

et de rires déguisés, pour l’effet.

Je devrais gueuler que je suis « MALHEUREUSE »,

mais tu veux juste, tu le dis, me rendre heureuse.

 

Mon espoir prend l’eau

comme un cadenas brisé sur le Pont Mirabeau.

Comment ne pas se dire « Adieu » ?

 

L’image pourtant du blanc mouchoir

et la chanson qui dit « ce n’est qu’un au revoir [1]»

marquent  mon esprit.

 

Nos retrouvailles, je les vois

dans tes mots.

 

[1] https://le-mythe-scout.webnode.fr/l/le-chant-des-adieux/ : datant de 1922, Le chant des Adieux est composé de quatre couplets, écrit par Jacques Sevin sur un air traditionnel écossais de Robert Burns en 1788, appelé alors "Auld Lang Syne" (qui signifie "depuis toujours" en scot).

lecture 49 lecturas
thumb comentario
1
reacción

Comentario (0)

Puedes hacer una donación a tus escritores independientes favoritos para apoyarlos

Seguir descubriendo el universo Poetry and Songs
le compte est bon
le compte est bon

Son compte est bonne se compte plus,dans l'absoluc'est un faux bond...Ses jours comptés...

Mentor
1 min
Grace à tes yeux 
Grace à tes yeux 

Silence ! Oh, laisse-moi parler. Il y a tant de choses, tant d’affaires Que j’aimerais te dé...

Caprice D’enfant
1 min
Pianiste
Pianiste

Maitre pianiste, joue Les notes se soulèvent et se lisent sur les lèvres Elle...

Madé Ame
1 min
Le retour
Le retour

Et puisqu’il faut bien un jour penser à rentrerLaisser les monts...

Coralie Sibard
1 min
Un petit-déjeuner
Un petit-déjeuner

Un matin d’août, dans un petit coin de verdure Un rayon de soleil...

Coralie Sibard
1 min

donate Puedes apoyar a tus escritores favoritos

promo

Télécharge l'application mobile Panodyssey