para-sitages
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para-sitages
Sur les canaux, à longueur d'onde et charme de fréquence, des astroports aux sanctuaires.
Lorsque l'éxistence est dure pour le bien, lorsque la misère dissidente est pour le refus des lois.
Quand l'asatru cherche juste à réigner dans le silence occulte de Laufey.
Le régne des sorciers et des évocations spontanées lorsque la douleur devient extase et le charme un honneur, que le deuil s'était prolongé jusque la derniére braise, alors que l'érotisme restait éxalté par toutes les substances qu'on ingère pour s'oublier.
Je m'accroches à mes rêves, je les guide et je les subis en même temps.
À coup de substances, à coups d'ivresse. je m'acroche à mes rêves, et je pue la sève.
Alors seulement apparaît l'âme, l'esprit est n'est plus soufrance et le psychisme est consommé.
L'amour est suprême et mes galdrs contagieux.
La justice est perfide et les tribunaux sans scrupule, quand à l'état il est insuportable et consummé par une soif de puissance débordante de fiel crapuleux.
L'éxistence est ambiguë lorsque l'éxaltation vient au hasard des aerts.,
la vie m'a foudroyé le peu qu'il me restait de colère, d'angoisses et de cauchemars.
Alors seulement je sais qu'elle est avec moi, cette vie, et je le lui rends bien. `
Il me faut maintenant créer un art de vivre paisiblement sans me faire de fictions.
L'alchimie m'a reconstruit là où le chamanisme m'avait détruit.
Mon éxistence est une succéssion de scènes sans rapport évidents entres elles.
Des séquences mal programmées et jamais terminées.
Je suis comme un idiot en phase terminale de bêtise innée.
Je cherches la fantaisie pour échapper à une réalité qui m'oppresse et se contient stupide et superficielle et babylone attrappe mes réflexions afin de mieux les exploiter.
Babylone est un vampire et il faut la faire taire pour échapper à son emprise méta-psychique et toutes les égrégores perfides qu'elle nous envoie pendant la nuit et qui font partie intégrante de la décadence qu'elle représente.
Je n'en mourrais pas de ne pas me nourrir.
mais je mourrais de ne pas aimer.
Je ne sais vivre avec personne et je vais en toute solitude au travers de la vie.
Je bois du café à longueur de temps en enquillant des sbars toute la nuit.
C'est ma manière de vivre, ma façon de penser il s'agit de mon art de kiffer et j'en profites bien.
Alors j'écris toute la journée pour me changer les idées, délier les tensions qui innondent mon corps et l'espace éthéré.