Congratulazioni! Il tuo sostegno è stato inviato con successo all'autore
Chapitre 7 :

Chapitre 7 :

Pubblicato 22 ago 2024 Aggiornato 22 ago 2024 Romance
time 16 min
0
Adoro
0
Solidarietà
0
Wow
thumb commento
lecture lettura
0
reazione

Su Panodyssey puoi leggere fino a 10 pubblicazioni al mese senza effettuare il login. Divertiti 9 articles da scoprire questo mese.

Per avere accesso illimitato ai contenuti, accedi o crea un account cliccando qui sotto: è gratis! Accedi

Chapitre 7 :

Chapitre 7 : Une Matinée Paisible

Mélia fut la première à se lever et à rejoindre la pièce dans laquelle elle et ses amis avaient dîné la veille. L'atmosphère, baignée par la lumière du jour, était différente de celle de la nuit précédente, plus vivante et apaisante. La pièce semblait plus accueillante, le jour révélant des détails qui lui avaient échappé dans l'obscurité.

Elle fut accueillie par Vérène, qui s'affairait à préparer le petit-déjeuner sur une table joliment décorée à l'extérieur. La table, vêtue d'une nappe à carreaux bleus, était ornée d'une carafe remplie de fleurs locales, de simples assiettes en porcelaine et en bois, et de mets rustiques. Mélia remarqua du pain fait maison, des pots de confiture, des fruits de saison fraîchement récoltés, et des œufs provenant du poulailler de Vérène. Tout cela lui ouvrit l'appétit, et elle se sentit reconnaissante pour l'hospitalité chaleureuse de leur hôtesse.

En regardant autour d'elle, Mélia fut frappée par la beauté paisible du paysage. Le soleil matinal éclairait la scène, et elle aperçut un lac scintillant non loin. Elle réalisa soudain : « Ah, mais c'est là-bas que Clovis voulait nous emmener ! » Enthousiaste, elle partagea cette découverte avec ses amis qui venaient de les rejoindre et qui discutaient déjà avec Vérène.

Vérène, avec un sourire, confirma : « Oui, ce lac est un endroit peu connu, mais magnifique pour se baigner. Peu de gens le connaissent, et je pense que c'est pour cela que Clovis voulait vous y emmener. »

Mélia acquiesça, amusée. « Je comprends mieux maintenant. C'est comme les champignons, on ne veut jamais que les autres trouvent nos coins secrets. C'est un peu pareil ici, non ? » Elle sourit, trouvant la comparaison charmante.

Vérène rit doucement et ajouta : « J'ai une solution pour que vous puissiez rejoindre vos amis s'ils sont encore là-bas, à moins qu'ils n'aient déjà trouvé une solution ou quelqu'un pour les dépanner. »

Nicolas, curieux, demanda : « Ah chouette ! On peut savoir quelle est votre idée ? »

Vérène répondit avec un sourire espiègle, « Oui, bien sûr. Vous risquez d'être un peu déçus quand même », plaisanta-t-elle avant de poursuivre. « Je vous propose de prendre mes chevaux et de monter dans la charrette. »

Les yeux de Mélia s'illuminèrent à cette idée pittoresque. « Ce serait génial ! » s'exclama-t-elle. Les autres échangèrent des regards amusés. L'idée de voyager à l'ancienne, dans une charrette tirée par des chevaux, ajoutait une touche d'aventure supplémentaire à leur séjour déjà inhabituel.

Vérène se mit à préparer les chevaux, expliquant que le trajet jusqu'au lac ne prendrait pas longtemps. Les jeunes, après avoir savouré le petit-déjeuner rustique, aidèrent à atteler les chevaux à la charrette. Ils étaient excités par cette nouvelle expérience et impatients de rejoindre leurs amis, espérant qu'ils seraient encore près du lac.

Ainsi, une nouvelle aventure commençait pour le groupe, non seulement en retrouvant leurs amis, mais aussi en explorant cette nouvelle facette de la campagne, guidés par la bienveillance et la sagesse de Vérène.
Alors que Vérène attelait les chevaux à la charrette, le groupe discutait joyeusement de cette nouvelle aventure. Cependant, Clara exprima une inquiétude qui lui trottait dans la tête depuis que Vérène avait proposé la charrette. « Mais comment on va faire pour vous ramener la charrette ? » demanda-t-elle au groupe. « On ne connaît pas le chemin qu'on a pris et, sans GPS… bon sang ! Ça ne va pas être possible. »

Elle regarda autour d'elle, visiblement stressée par cette nouvelle complication. Même si Vérène leur avait expliqué le chemin pour se rendre au lac, Clara n'était pas rassurée pour autant. Elle se sentait perdue à l'idée de se déplacer sans la technologie moderne à laquelle elle était habituée.

Joshua, remarquant son agitation, se rapprocha d'elle et posa une main rassurante sur son épaule. « Ne t'inquiète pas, Clara », dit-il avec un sourire apaisant. « On trouvera une solution. Vérène nous a donné des indications précises et, si jamais on se perd, on pourra toujours demander de l'aide aux gens du coin. »

Vérène, qui avait terminé de préparer la charrette, s'approcha avec un sourire encourageant. « Ne vous en faites pas », dit-elle doucement. « Les gens ici sont très serviables. Si vous avez besoin d'aide, ils se feront un plaisir de vous guider. Et puis, le chemin est assez simple. Faites-moi confiance, vous y arriverez sans problème. »

Mélia ajouta avec un sourire : « Et puis, c'est aussi ça l'aventure, non ? Parfois, il faut savoir se perdre un peu pour mieux se retrouver. » Ses paroles eurent un effet apaisant sur Clara, qui se détendit légèrement.

Le groupe monta dans la charrette, les chevaux prêts à partir. Clara, toujours un peu nerveuse, mais maintenant plus confiante, s'installa à l'arrière, regardant le paysage qui s'étendait devant eux. Joshua s'assit à côté d'elle, prêt à la rassurer si nécessaire.

Alors que Vérène donnait une dernière explication sur les directions, le groupe se préparait à partir, une nouvelle énergie les animant. Ils étaient conscients que ce voyage serait unique, mêlant modernité et tradition, et qu'ils pourraient compter les uns sur les autres pour surmonter les petits défis qui se présenteraient. L'aventure promettait d'être mémorable, et ils étaient déterminés à en profiter pleinement.
Alors que la charrette se mettait en mouvement, Vérène les regardait partir avec un sourire bienveillant. Elle leur adressa un au revoir chaleureux, agitant la main avec une certaine tendresse. Le groupe répondit de la même manière, un mélange de sourires et de regards émus. Les étreintes échangées avant leur départ avaient été touchantes et pleines de gratitude, chacun ressentant un lien spécial avec cette femme qui avait tant fait pour eux. Ils savaient qu'ils reviendraient, ne serait-ce que pour ramener la charrette, même s'ils n'avaient pas encore totalement résolu comment ils allaient s'y prendre.

Mélia, particulièrement excitée par cette excursion équestre, observait les paysages qui défilaient autour d'eux. C'était une grande première pour elle de voyager ainsi dans une charrette. Elle se souvenait de ses expériences passées à cheval, notamment lors d'une sortie scolaire, il y a bien longtemps. « C'est encore plus amusant dans une charrette », pensa-t-elle en souriant. Elle profitait de la vue tout en se sentant en sécurité à côté de Joshua, qui rassurait Clara, assise à côté de lui et agrippée au bois de la charrette.

Nicolas, installé à l'avant, dirigeait les chevaux avec assurance. Vérène lui avait confié les rênes après avoir appris qu'il avait une certaine expérience avec les chevaux. Il suivait les instructions qu'elle lui avait données pour manier la charrette. Le visage illuminé de bonheur, Nicolas se sentait transporté dans une autre époque. « Ça change tellement de la voiture », s'exclama-t-il en inspirant profondément. « Et en plus, on apprécie davantage ce qu'elle dégage : zéro pollution, 100 % nature. Mais qu'est-ce que ça fait du bien ! »

Joshua hocha la tête en signe d'approbation. « Je confirme », répondit-il. « On oublie tellement les vraies belles choses 100 % gratuites que la nature nous offre. » Il rit, un son clair et heureux, ajoutant : « Et le téléphone ne me manque même pas. Ça fait du bien de se déconnecter. »

Le groupe, bercé par le rythme doux des chevaux et le craquement des roues sur le chemin, se laissait emporter par la tranquillité de la campagne. Les arbres, les champs et les collines formaient un décor magnifique qui s'étendait à perte de vue, offrant une sensation de liberté et de paix que les jeunes citadins n'avaient pas souvent l'occasion de ressentir.

Chacun, à sa manière, savourait cette expérience unique, une pause bienvenue dans le tumulte de la vie quotidienne. Le trajet en charrette ne devenait plus qu'un simple moyen de transport ; c'était une aventure en soi, une occasion de se reconnecter à de simples sensations authentiques. Ils étaient unis dans cette exploration, partageant des moments de réflexion et d'appréciation de la beauté naturelle qui les entourait.
Alors que la charrette continuait son chemin, bercée par le rythme régulier des chevaux, Mélia remarqua que Clara s'était endormie. Le doux mouvement de la charrette, ou peut-être le désir d'échapper à son malaise, avait fini par l'apaiser. Clara semblait avoir trouvé une sorte de répit temporaire, blottie contre Joshua qui, de son côté, la surveillait d'un œil bienveillant.

Écoutant la conversation des garçons, Mélia ne put s'empêcher d'intervenir. « C'est vrai, vous avez raison, » dit-elle en se tournant vers eux. « C'est dingue comme se déconnecter peut nous faire un bien fou ! Je suis contente d'être avec vous dans cette aventure. Je réalise que les plus belles choses se vivent souvent dans l'imprévu et l'improviste. » Ses yeux brillaient d'une joie simple alors qu'elle contemplait le paysage naturel qui les entourait.

Quelques heures plus tard, Mélia s'était elle aussi assoupie, sa tête reposant sur l'épaule de Joshua. Le calme de la nature et le bercement constant avaient fini par la bercer dans un doux sommeil. Nicolas, qui s'occupait toujours des rênes, eut soudain une idée amusante. Il poussa un cri imitant celui d'un loup, espérant réveiller les filles d'une manière ludique.

Clara se réveilla en sursaut, confuse et un peu paniquée. « Quoi, des loups ? Où ça ? » demanda-t-elle, les yeux écarquillés.

Nicolas et Joshua échangèrent un regard complice, amusés par la réaction de Clara. « Mais non ! » répondit Joshua en riant. « C'était juste pour vous réveiller, les filles. »

Mélia ouvrit les yeux à son tour, souriant en voyant Clara s'être faite piéger. « Ça m'étonnerait qu'il y en ait ici, » dit-elle en souriant. Elle se redressa et regarda autour d'elle. Soudain, son regard se posa sur le lac qu'ils approchaient. « Ah ouais ! » s'exclama-t-elle, émerveillée. « Il est grand et vraiment magnifique, encore plus de jour. Vous pensez qu'on peut aller se baigner ? »

Le lac s'étendait devant eux, ses eaux claires scintillant sous le soleil de l'après-midi. L'idée de se rafraîchir dans l'eau semblait séduisante après leur trajet en charrette. Nicolas ralentit les chevaux alors qu'ils approchaient du bord du lac, cherchant un endroit où ils pourraient s'arrêter.

Joshua regarda le lac et répondit avec enthousiasme : « Je ne vois pas pourquoi pas ! Ça serait parfait pour se rafraîchir et profiter encore plus de ce bel endroit. »

Clara, maintenant pleinement réveillée et apaisée par la vue du lac, acquiesça avec un sourire. « Oui, allons-y ! Ça pourrait être la cerise sur le gâteau de cette aventure imprévue. »

Ils s'arrêtèrent au bord du lac, descendent de la charrette et se dirigèrent vers l'eau. L'excitation montait à l'idée de se baigner dans ce cadre idyllique, profitant du soleil et de la beauté de la nature. La journée promettait de continuer à être remplie de moments mémorables et de bonheur simple, partagés entre amis.
Alors qu'ils se rapprochaient du bord du lac, le groupe remarqua un coin parsemé de fleurs de toutes sortes et couleurs. Mélia, toujours curieuse, s'approcha pour les sentir. « Ah, c'est chouette, elles sentent vraiment bon ! » s'exclama-t-elle, ravie par la douceur des parfums floraux qui l'entouraient.

En regardant autour d'elle, Mélia remarqua un petit ponton de bois qui s'avançait sur l'eau. « Venez, il y a un ponton par ici, on pourrait s'installer là, » proposa-t-elle avec enthousiasme, gesticulant pour attirer l'attention de ses amis.

Alors que les autres marchaient dans sa direction, Mélia se pencha soudainement et ramassa quelque chose. Elle éclata de rire et lança : « Regardez ce que je viens de trouver, c'est énorme ! Quelqu'un a dû l'oublier ici ou le faire tomber par accident. »

Clara, intriguée, s'approcha en demandant à haute voix : « Qu'as-tu trouvé ? C'est utile au moins ? »

Mélia, amusée, répondit : « Oui, c'est utile, et ça va nous permettre de tenir quelques petites heures. » Elle brandit triomphalement une glacière remplie de diverses boissons fraîches et de snacks.

Joshua et Nicolas rejoignirent les filles, riant de la découverte inattendue. « Eh bien, voilà une trouvaille pratique, » dit Nicolas avec un sourire. « On dirait qu'on est partis pour un pique-nique improvisé. »

Joshua ajouta en plaisantant : « Avec tout ça, on dirait que le destin nous pousse à profiter encore plus de cet endroit. »

Ils se dirigèrent vers le ponton, la glacière en main, et s'installèrent confortablement. La vue sur le lac était magnifique, avec l'eau étincelant sous le soleil et le calme ambiant seulement perturbé par le doux clapotis des vagues contre les rives. Ils se mirent à profiter des boissons et snacks trouvés, savourant ce moment de détente inespéré.

Mélia, assise au bord du ponton, les pieds plongés dans l'eau fraîche, regarda ses amis avec un sourire satisfait. « C'est vraiment le meilleur moment de l'été, » déclara-t-elle. « Qui aurait cru qu'on se retrouverait ici, à se détendre au bord d'un lac, loin de tout ? »

Clara hocha la tête, apaisée. « Oui, c'est incroyable comme les imprévus peuvent nous mener à des moments magiques. »

Le groupe continua à profiter de la matinée, entre discussions légères, baignades dans le lac et moments de silence apaisants, entourés par la beauté naturelle du lieu. Cette aventure, débutée de manière chaotique, s'était transformée en une expérience mémorable et enrichissante pour chacun d'entre eux.
Après s'être baignés dans l'eau rafraîchissante du lac et avoir savouré un pique-nique improvisé, le groupe se perdit dans la détente, oubliant complètement le passage du temps. Aucun d'eux n'avait de montre, et le calme de l'endroit les avait enveloppés dans une bulle de sérénité. Ce fut Joshua qui, le premier, prit conscience du temps qui filait. « Je me demande quelle heure il peut bien être, » s'interrogea-t-il à voix haute.

Nicolas, observant le soleil dans le ciel, répondit avec assurance : « Vu la position du soleil et la luminosité, je dirais qu'il est aux alentours de 16 heures. »

Joshua, intrigué, demanda : « Comment tu sais ça ? »

Nicolas sourit, se rappelant ses expériences passées. « J'ai appris ça lors d'un parcours d'orientation que j'ai fait il y a quelques années. C'est une astuce utile pour estimer l'heure en plein air. »

Mélia, amusée, se tourna vers Joshua : « Tu n'as pas appris ça à la colo ? »

Joshua haussa les épaules en souriant. « J'étais malade le jour de la sortie d'orientation. »

« Ah d'accord, » répondit Mélia en riant. « On peut remercier Nicolas alors. »

Pendant qu'ils discutaient, le bruit d'une voiture approchant les interrompit. Mélia, toujours curieuse, se leva rapidement et courut vers le point d'arrivée pour voir qui c'était. Elle agitait les bras et cria : « Eh, arrêtez-vous ! » La voiture s'arrêta, et Mélia se précipita vers la vitre du conducteur. Elle fut surprise de voir Robin au volant.

« Mais Robin, qu'est-ce que tu fais là ? » demanda-t-elle, étonnée.

Robin sourit en la voyant. « Salut Mélia, » répondit-il. « Je faisais des rondes pour vous chercher, au cas où. Comme nous n'avions pas de nouvelles de Nicolas, Clovis et moi nous relayons pour vous retrouver. »

« Les autres sont en bas, » expliqua Mélia, en pointant vers le lac. « Vous avez trouvé la glacière, donc ? » demanda Robin en descendant de la voiture. il était habillé de manière plus décontractée que la veille, portant un t-shirt bleu marine et un bermuda en jean bleu clair. Ce look décontracté soulignait la nature décontractée de la journée, en harmonie avec l'ambiance paisible du lac.

« Oui, pourquoi ? » répondit Mélia, surprise par sa question.

Robin éclata de rire. « Ah, mais c'est nous qui l'avons mise là ! Avec Clovis, on s'est dit que si vous passiez par là, vous tomberiez dessus et auriez de quoi manger. On ne savait pas où vous aviez passé la nuit, alors on a pensé à tout. »

Mélia, touchée par leur prévoyance, l'embrassa sur la joue. « Merci, c'était une super idée. » Puis elle l'invita à descendre vers le lac pour retrouver les autres.

En rejoignant le groupe, Robin raconta comment il avait passé la matinée à chercher des indices sur leur localisation. Les retrouvailles furent joyeuses, chacun exprimant sa gratitude pour la gentillesse de Robin et Clovis. La glacière trouvée par hasard n'était pas si accidentelle que ça, et ils réalisèrent à quel point ils étaient chanceux d'avoir des amis attentionnés.

L'après-midi continua dans une ambiance joyeuse et détendue, chacun profitant de la compagnie des autres et de la beauté naturelle qui les entourait. Le lien entre les amis se renforçait, rendant cette journée encore plus spéciale et mémorable.

Alors que ses amis continuaient de se baigner ou de rigoler en buvant des boissons trouvées dans la glacière, Robin s'éloigna pour répondre à un appel téléphonique. Il s'agissait de Clovis, et Robin écouta attentivement la conversation. Quelques minutes plus tard, il revint vers le groupe, une expression indéchiffrable sur le visage.

« Les copains, j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle à vous annoncer, » commença-t-il, attirant l'attention de tous. Les amis se regroupèrent autour de lui, curieux et légèrement inquiets.

Robin poursuivit : « C'était Clovis au téléphone. Je l'avais averti par SMS quand Mélia m'a parlé dans la voiture. Vous voulez que je commence par quoi, la bonne ou la mauvaise ? »

Tout le monde se regarda, chuchotant des suggestions à voix basse. Finalement, Nicolas prit la parole : « Vas-y, dis-nous la bonne nouvelle. »

Robin hocha la tête. « Ok, Clovis vous invite ce soir à sa villa pour vous doucher et vous requinquer. Vous pourrez recharger vos téléphones et vous rafraîchir après cette aventure rustique. Et après le repas, je vous ramènerai à la falaise. »

Un soupir de soulagement parcourut le groupe. La perspective de se doucher et de se ressourcer dans un environnement confortable était très alléchante après leur nuit en pleine nature. Mais Robin continua : « Et pour la mauvaise nouvelle... La voiture de Clovis est HS. Même les garagistes n'ont pas compris ce qui s'est passé. C'est un véritable mystère. »

Nicolas haussa les épaules. « Ah mince. Je m'attendais à pire, même si ce n'est pas cool. Tu remercieras Clovis pour l'invitation. » Les autres exprimèrent également leur gratitude, reconnaissants pour cette opportunité de se remettre de leurs aventures.

Mélia, intriguée, demanda : « Mais la villa, c'est vraiment sa maison ? »

Nicolas répondit avant que Robin ne puisse le faire : « Non, c'est celle des parents de sa copine Estelle. C'est leur maison secondaire. »

« Ah d'accord ! » dit Mélia, un brin impressionnée. « La chance, ça va nous faire tout bizarre de passer du rustique au luxe ! »

Nicolas continua, partageant une partie de leur histoire commune : « Clovis a été recueilli par mes parents après le décès des siens, et il est devenu mon meilleur pote. Robin, on l'a rencontré un peu plus tard lors d'un sport d'équipe via l'école. »

« C'était quel sport ? » demanda Clara, curieuse.

« Le skateboard, » répondit Nicolas avec un sourire nostalgique. « Depuis nos 15 ans, on ne se quitte plus. »

Le groupe se sentit encore plus soudé en partageant ces souvenirs. Ils se préparèrent à profiter de cette nouvelle soirée prometteuse, tout en faisant leurs adieux au cadre idyllique du lac. La transition du rustique au luxe s'annonçait intéressante, ajoutant une nouvelle dimension à leur aventure estivale. Ils étaient impatients de se retrouver dans un cadre confortable et de passer une soirée conviviale dans la villa, tout en continuant à renforcer leurs liens d'amitié.





lecture 13 letture
thumb commento
0
reazione

Commento (0)

Puoi sostenere i tuoi scrittori indipendenti preferiti donando loro

Proseguire l'esplorazione dell'universo Romance
JE CONSTRUIS
JE CONSTRUIS

Je ne suis pas un grand bricoleur et certainement pas un constructeur.Mais depuis ma plus grande adolescen...

Cedric Simon
1 min

donate Puoi sostenere i tuoi scrittori preferiti

promo

Download the Panodyssey mobile app