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PROLOGUE ET LE POÈME I

PROLOGUE ET LE POÈME I

Publié le 10 nov. 2024 Mis à jour le 10 nov. 2024 Politique
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PROLOGUE ET LE POÈME I

 

Textes de 2020 :

Nous sommes, sans aucun doute, à un tournant de notre civilisation.

Les progrès techniques sont tels que l'information peut être récoltée, stockée.

Et surtout utilisée par, autant, les dirigeants de nos pays que par toutes sortes de mafias.

Il est temps de se lever comme citoyens libres et de s'opposer à cet esclavage numérique.

Les politiciens, qui sont plus des gestionnaires que des politiques, veulent votre bien.         

Et comme, ils sont les seuls à savoir ce qui vous convient, il est urgent, pour eux de vous gérer.

Je vous offre la lecture d'un peu de poésie.         

En espérant que le sens de ces textes, trouve l'écho indispensable, touche ceux qui ressentent  venir ce futur enfermement.

Chacun pourra en retenir les termes, à lui utiles, pour convaincre son entourage.

 Il est toujours plus facile d'aller vers la servitude, d'abandonner des libertés, que de les retrouver !

 

Le grand suffisant, le pygmalion au petit pied, le bavard inutile et le vilain puant

Dans les arcanes d’un pouvoir, fort bien introduit,

De prendre la place, d’occuper l’espace, il rêvait.

De son Maître sans pensée, les espoirs il bannit

Pour ses banquiers et par eux, l’orgueil il avait.

 

De sa vieille compagne, de pygmalion pâle copie,

Comment ses mentors apparents savoir trahir,

Dès son jeune âge déjà, il avait bien appris,

Et pour les marches de la célébrité gravir,

 

A défaut de laisser mémoire de renommée.

Tous les écarter, par ses dossiers, il pouvait

Et les autres, disponibles, par un fier poste, acheter.

Après avoir, celui qui se croyait père, tué.

 

Son couple cumulant vices, trouvait grande pureté,

Pour le Louvre, par musique et lumières, traverser

Et du Palais garder image de majesté,

Que, sans ce faste ridicule, seul il ne pouvait.

 

Celle qui, depuis long, dans cette voie le soutient,

Par expérience solide, lui passe tous ses désirs

Et l’exercice d’un pouvoir excessif maintient,

En y trouvant, sans aucun doute, un grand plaisir.

 

Nombreux collaborateurs il fallait choisir

Un premier transfuge, grand par sa taille seulement

L’opportunité unique d’un poste sut saisir

De son premier ministre de ce gouvernement.

 

Malgré discours maternels dans la presse acquise,

De comparaison, il ne pouvait que souffrir

Malgré les qualités mineures et sans maitrise

De gens qu’au fin fond, il avait fallu quérir.  

 

Il se devait de sa position l’écarter

Une épidémie, lui permit, surprise exquise,

Ce qu’annonçait sa femme et au peuple de montrer

Sont, de Jupiter, toutes les solutions, requises.  

 

Si affolé, le ministre organise sa fuite

Vers des rivages municipaux beaucoup plus stables

Où ses fautes oubliées, dans un espoir de suite,

Vers la fonction que seul l’orgueil rend concevable.  

 

Après quelques essais et surtout des erreurs

Créations de comités et d’institutions

D’incompétence et petits chefs, il ne demeure,

En non gouvernementale organisation.

 

Des désirs du bavard inutile, cet objet,

Qui perdant ses lunettes et restant sans vision,

Pris pour l’absence de risque ou de quelconque projet

De gloire inespérée, venir en Matignon. 

 

De pandémie, user de façon éhontée,

Pour la peur instiller, la panique installer,

Par silence des agneaux, le pouvoir protéger

De toute liberté ou de se voir critiquer

 

Les prétendues compétences du vilain puant,

Si incapable de son ministère diriger

Tel un ministre délégué du grand suffisant

Occupait toutes les ondes amies ou payées

 

Missionnée, la mauvaise copie de la Joconde

Poursuit l’action indispensable de division

Avec des associations aux idées fécondes

Pour éviter le risque d’éventuelles élections.

 

De ce monde de politiciens, sont nés des monstres

Dont la présence trop constante sur tous les écrans

Leur manque de tenue, l’absence de statut démontrent

Qu’ils sont, de lectures, gavés, copiées sans talent.

 

Des bassesses, mensonges mesquins des sinistres bouffons

Il n’est nul besoin pour le Grand Homme d’une Nation,

Du pouvoir indu acquis de mauvaise façon

Avantage n’est maintenu que par division.

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