Sous la voûte étoilée des landes celtiques,

Où les brumes dansent, grises et énigmatiques,

Se lève l'ombre d'un héros : Cú Chulainn le vaillant,

Né du souffle des dieux et forgé par le vent.

Enfant de l'Ulster au destin capricieux,

Il brandit sa lance de foudre vers les cieux,

Défiant les armées, les royaumes et le sort,

Son nom résonne encore, au-delà de la mort.

Dans le fracas des batailles, son âme s'élève,

Chaque coup porté, une légende qui se tisse et s'achève,

Mais derrière le guerrier, un homme en quête de paix,

Cherchant l'amour et la lumière, loin des épées.

[REFRAIN]

Sur les chemins sinueux aux confins des landes,

Les anciens Celtes murmurent leurs légendes.

Cœurs de guerriers et sagesse druidique,

Tracent les chemins d’honneur de l’Armorique.

Ô Morrigan, déesse aux ailes de corbeau,

Témoin silencieuse de ses combats et ses maux,

Toi seule le jour sombre versas des larmes,

Quand à la Samhain, il succomba aux armes.

Gardienne des secrets et déesse de la mort,

Tu récoltas sa lance, son épée et ses sorts,

Pour les souffler dans l’âme des mortels,

Afin qu’ils se souviennent et bâtissent un autel.

Les bardes chantent encore ses exploits du passé,

Des rives de la Boyne aux montagnes sacrées,

Les légendes perdurent, traversant les âges,

Écho d'un temps ancien, inscrit dans les pages.

[REFRAIN]

Sur les chemins sinueux aux confins des landes,

Les anciens Celtes murmurent leurs légendes.

Cœurs de guerriers et sagesse druidique,

Tracent les chemins d’honneur de l’Armorique.

Écoute, voyageur, le murmure du vent,

Il porte les récits des héros d'antan,

Dans chaque pierre, chaque arbre, chaque rivière

Vibre l'âme celtique, éternelle et fière.

Continuons à rendre hommage aux anciens,

À leurs mythes, leurs rêves et leurs chemins,

Puissent leurs histoires inspirer nos vies,

Et raviver la flamme des mémoires enfouies.