Lourd...
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Lourd...
Lourd…
Dans la ville devenue hostile
J’errais las, d’un pas lourd,
Parmi les visages dociles,
Des cœurs fermés et sourds.
Aurais-je dû davantage insister ?
Clamer fort ma supposée vérité
Dans ces rues sales et sombres,
Avalant tout, jusqu’à mon ombre.
Alors, mettre fin à tous ces détours,
Redonner du sens à ce long parcours.
Et là, telle une oasis la mer et ses rivages
Là-bas, illuminèrent enfin mon visage.
Libéré et pieds nus sur ce sable mouillé,
À nouveau je pouvais respirer, apaisé.
Au murmure des vagues et à l’air iodé,
Enfin je ressuscitais, en poétiques pensées.
J’ai fermé précieusement les yeux,
Le temps d’un espace oublié…
Mes pas lourds, j’ai dansé avec « e »,
Rêvant alors, de palourdes à déguster…
PascalN ©
« Scènes de vie »
(Texte personne
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Jean-Christophe Mojard il y a 20 jours
Souvent c'est loin de nos pas primaires que se trouve le bonheur. Celui de n'être pas resté. Celui d'être parti.
Pascaln il y a 20 jours
Ah ! Vaste autre sujet à explorer que celui du bonheur. De préférence d'un pas plutôt léger pour moi.
Merci pour ce commentaire.
Jean-Christophe Mojard il y a 20 jours
Un pas léger vers le sable mouillé et l'air iodé.
Bernard Ducosson il y a 20 jours
Non ta poésie n'est palourde. Elle est plus tôt claire de Marraine Oléron !
Pascaln il y a 20 jours
Les 2 sont excellentes... Comme ton commentaire 😉😊