Le pire crime, non il ne s'agit pas cette fois du crime pédophilique (encore que, avec cette CONFUSION entretenue - ces Gender Blenders - au pays [stratosphérique] des covidiens, et qui peut le plus peut toujours le moins); oui, il s'agit du crime d'Etat (the worst crime as State crime), du coup de l'Etat.

Reprenons, déroulons et enchaînons : une Conspiration de taille ou d'étendue inédite (a huge Conspiracy), avec en tête d'affiche un félon et à un plus d'un titre, et une machination au retentissement international ; la Machine-Etat a fonctionné avec des rouages rouillés, on dirait. Qui dit CONSPIRATION dit ORGANISATION, stratégie avec plan de GUERRE (nom de code COVID19). La question à poser, nous ne l'avons pas fait - nous le faisons, est : comment ce plan - ce COUP - a-t-il été monté ? Monté, c'est-à-dire préparé. Il me semble que c'est là que la question de l'ESPIONNAGE est à poser.

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L' espionnage est en soi nécessaire et légal; il fait partie du dispositif étatique, il est utile à la sécurité nationale. On parle pas mal depuis quelques temps de diverses instances, ordre des RENSEIGNEMENTS (SERVICES SECRETS), ayant partie liée avec cette question parce que le mélange des genres, en ce domaine-là, a l'air d'être un invariant comme le conflit d'intérêts. car l'espionnage peut être aussi illégal et a fortiori illégitime (d'Etat à Etat, comme d'Etat à individu ou citoyen).

Une HISTOIRE de CONSPIRATION (c'est l'Etat qui a fait le coup), une affaire américaine avec un Donald qui la fout mal, mobilise tous ces services et le fait à contre-emploi. Beaucoup d'affaires (mais la conspiration est énorme) reviennent sur le devant de la scène publique, télévisuelle etc. Mais les liens ne sont pas toujours faits, le travail de démantèlement prenant beaucoup de temps etc. Cela dit, il y a pourtant une AFFAIRE à ne pas oublier, récente dans sortie, à rappeler d'autant qu'elle a fait un certain bruit et que le troupeau de l'Internationale médiatique l'a bêlée; ce qui, quand on connaît les numéros au boulot ou l'espèce professionnelle globalement irréfléchie, devrait apparaître comme louche : dans l'affaire Pegasus, les moutonneux crient à l'indignation que des chefs d'Etat soient espionnés (mis sur écoutes, par exemple, en se fichant du reste des particuliers qui peuvent être eux aussi espionnés de la sorte par une instance ou plusieurs étatique[s]). Objection : et si c'était à raison ? Plutôt que jouer les vierges effarouchées, les concurrents à l'audimat ou les journaux faisant leur beurre là-dessus (marque de fabrique oblige) feraient mieux de relire ce que signifie déontologie et commencer par appliquer à eux-mêmes des règles nécessaires et vitales ; la supercherie corona virus avec publicité outrancière aux vaccins leur aura fait du tort, et encore une fois à raison. Car, en pleine connaissance d'une corruption généralisée oun systématisée, le tri (pas le recyclage, il y aura des inculpations et peut-être tous azimuts) doit impérativement être fait. Donc (dans un souci de transparence due), de même qu'on devrait exiger de l'ex-Président des Etats-Unis qu'il dise de quelle confession il est, on devrait exiger des explications de la part des chefs d'Etat visés par ce type de pratique; si non, c'est de la victimisation c'est-à-dire une pratique - tactique - de l'inversion (autre grand invariant des covidiens). Cette exigence est en effet d'intérêt collectif ou public ; autrement dit, elle regarde tout le monde c'est-à-dire l'ensemble des citoyens (contrairement à une privacy - ses droits sont plus que menacés - qui ne regarde que les concernés). 

Le COVIDISME, qu'est-ce ? A part UNE GUERRE (dont le nom est tu) ? Comment a-t-il été possible, c'est-à-dire à la suite de quoi ? Ce qui est clairement en cause, c'est la POLICE comme organe de contrôle (les Big Tech etc sont les moyen