C'est la notion de CENSURE, au sens politique (la propagande avec ses interdictions etc.) et au sens psychanalytique (ce qui sépare le conscient de l'inconscient), qui nous intéresse en ce moment où les choses, en ce qui concerne l'affaire coronavirus isolément (nom de code COVID19), se décante. Nous l'observions à propos des décisions par le Pr des USA de n'appliquer les restrictions supposées sanitaires à son pays (et encore, chaque état décide de l'application ou de l'abandon de ces mesures), ce qui ressemble à un repli ; The Reuter Daily Briefing (21-04-2022) le met en titre, de manière on ne peut plus clair ; même si les covidiens ne sont pas prêts d'avouer, pour l'instant, de quoi il en retournait : "The U. S. Justice Department appealed a judge's ruling ending a mask mandate on public transportation and airplanes after the Centers for Disease Control and Prevention said the measure was still needed". Vous voyez un peu combien le manque de crédibilité touche désormais non plus les "complotistes" mais les dénégateurs de complots telles ces instances (CDC) aux bottes du Pouvoir, du gouvernement. Qui nie affirme, ce n'est pas de moi (c'est de Hegel, de mémoire : nier c'est poser puis rejeter : mais c'est poser). En France, la comédie continue mais moins quand même ; est risible ce titre de Le Progrès (20-04-2022) : "Covid-19 : le rebond épidémique garde la cadence ! " Il est drôle aussi, ce titre. Tout le monde finit par rigoler : c'est tellement bête, la censure laisse passer et même filtrer parfois. Et la dérision frappe : le cap s'éloigne de l'objectif conspirationniste. Il faut dire, également, que Donald Trump a de plus en plus de mal avec la Justice de son pays qui l'épingle comme étant à la tête (sommet de la pyramide avec d'autres) d'une Conspiration sans précédent (a huge conspiracy), comme traître, coupable de félonies, comme ayant été à l'origine du Coup du Capitole (la fameuse émeute, très blanche), comme l'ayant monté contre le Congrès..., un coup pour renverser l'élection présidentielle remportée honnêtement par son adversaire démocrate (au fait, J. Biden est-il bon en religion ?). 

Leur narrative n'a pas t