Félicitations ! Ton soutien à bien été envoyé à l’auteur
avatar
L'énergie du vide

L'énergie du vide

Publié le 8 août 2025 Mis à jour le 8 août 2025 Développement personnel
time 16 min
0
J'adore
0
Solidaire
0
Waouh
thumb 0 commentaire
lecture 3 lectures
0
réaction

Sur Panodyssey, tu peux lire 10 publications par mois sans être connecté. Profite encore de 4 articles à découvrir ce mois-ci.

Pour ne pas être limité, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit ! Se connecter

L'énergie du vide

Le vide est un espace ne contenant plus rien. S’il n’y a plus rien, il n’y a plus d’espace. Effectivement, l’espace émerge de la mise en relation de différents objets établissant certains rapports de distance entre eux. C’est dans le vide, représenté par la distance entre les objets, que l’espace se modélise. Mais alors, l’espace est bien rempli de vide. Oui. Mais alors, quand il y a du vide, il y a quand même de l’espace. Oui, mais seulement si des objets sont présents pour modéliser l’ensemble. Il faut comprendre que l’espace conditionne la matière, et la matière conditionne l’espace.


Ensuite, en toute logique, il faut envisager l’idée que le vide n’est pas vide pour tout le monde.

Le vide ‘banal’ entre deux meubles est en fait un vide rempli de gaz. Les particules ou molécules qui forment ce vide sont des objets ou éléments. Ce vide apparent est donc plein. Même s’il ne s’agit pas de matière solide comparable à des meubles, c’est une matière exprimant des molécules sous forme diffuse, dilatée, dispersée.

Le ‘vrai’ vide consisterait à dire qu’il n’y a plus rien du tout dans cet espace, plus aucun élément. Ce ‘vrai’ vide existe et on le connait. Si une machine fait le vide dans un sachet plastique de congélation, il ne reste plus rien que les parois du sachet collées l’une contre l’autre. Il n’y a effectivement plus rien dans le sachet, et plus d’espace.

Mais en allant un peu plus loin, on sait aussi qu’il existe un vide étant un espace ne contenant rien. Un espace bien réel qui pourrait contenir des éléments, mais… vide. Un volume de vide. C’est le cas dans le petit monde des atomes, et donc de tout objet ou élément. Cependant, des éléments peuvent circuler dans cet espace inoccupé. Mieux encore, ce volume est inoccupé car il ne contient pas d’éléments (au sens de matière organisée quelle que soit sa forme), mais il n’est peut-être pas vraiment vide. Ce vide pourrait être occupé par un autre type de contenu. Il est rempli de ce que l’on peut appeler ‘magnétisme’, ou bien ‘champ magnétique’. Il s’agit d’une pleine étendue, et non pas d’éléments distincts et parsemés de-ci de-là. Le magnétisme, c’est cette étendue de vide qui remplit un espace sans matière. Ce contenu est plus ou moins dense et plus ou moins agité. Il reste sous forme de magnétisme tant que ses conditions d’agitation et de densité le permettent, tant qu’il n’y a pas formation de concrets qui donneraient lieu à des particules et de la matière. Alors, ce contenu est simplement vibratoire, il est très peu dense, ça va très vite et il s’exprime donc sous formes ondulatoires. C’est de l’information ‘pure’. De l’information non réalisée concrètement en matière. Par évidence, l’information n’est pas à proprement parler de la matière. L’information est émise par la matière et sert à la décrire. Ou bien, l’information décrit la matière de façon à pouvoir la réaliser. La matière représente l’information condensée dans différentes conditions. L’information est un message qui permet de se représenter un élément dans différentes conditions, sans pour autant l’avoir en main ou le posséder concrètement. Cette information, c’est donc ce magnétisme qui remplit le vide de l’espace. C’est une information neutre et globale, non rattachée à des conditions particulières d’expression en matière. Une même information est un potentiel d’expression d’une multitude de formes concrètes. Elle s’organise et révèle une forme en fonction des conditions d’un milieu de vie appelant une réaction en condensation. Ce magnétisme est ondulatoire, il vibre, il se déplace, il se diffuse, il interagit.

Dans notre contexte matériel, ce vide est donc rempli d’une information, la plus neutre que l’on puisse envisager, à l’origine de l’organisation d’éléments concrets. Ce contenu magnétique est aussi dépendant de son environnement matériel qui va déterminer ses formes d’expression, ou d’organisation, entre onde et matière. Le magnétisme est une sorte d’information libre, non exploitée, non associée (…on peut parler d’éther). Cette information exerce une influence sur les objets présents alentour. Elle définit les conditions d’existence avec lesquelles ils doivent composer. Mais tous ces mêmes objets l’alimentent aussi, et elle en reflète le milieu de vie commun. Chaque objet émet une vibration propre représentant son modèle informationnel sous forme ondulatoire. Ce modèle participe à l’ensemble du magnétisme occupant le vide d’espace à portée d’influence. Il en résulte une sorte de consensus informationnel de l’espace considéré dans sa globalité, sous influence de toutes ses composantes. Le magnétisme est continuellement renouvelé. De l’information ondulatoire est convertie en matière, et la matière émet une information vibratoire. Dans un sens comme dans l’autre, les transitions se font vers un même objectif de maintien de l’équilibre du milieu. Le milieu du vide magnétique est garant de la stabilité de l’ensemble d’un espace et de son contenu.

Le magnétisme voyage vite, très vite. La matière (toute forme corpusculaire correspondant à une concrétion) exprime un état vibratoire plutôt lent. On peut considérer que plus c’est dur, plus c’est lent. Le plus rapide, qu’il nous est donné d’observer concrètement, c’est la lumière. Elle s’exprime effectivement de façon corpusculaire, en raison du besoin d’apaiser un milieu ou de sa matérialisation au contact d’éléments matériels (elle participe donc en ce sens à l’équilibre du milieu). Toute information vibratoire est considérablement ralentie dès lors qu’elle relationne avec la matière. C’est bien un des rôles de la matière de ralentir et apaiser l’ambiance. Mais en dehors de formes concrètes, à l’état et dans les conditions d’un magnétisme ‘libre’, l’information est bien plus rapide. Ce que l’on pourrait envisager comme une vitesse de déplacement, ou d’accès à l’information du magnétisme, est simplement de l’ordre de l’instantané pour nous. Cela est bien plus rapide que la lumière vue au travers de son photon, et cela laisse percevoir des distances abolies. Mais ce n’est que de l’information non exprimée, neutre et globale, non signifiante en termes de représentation matérielle effective, hors contexte d’un espace-temps solide, c’est juste un potentiel en devenir.

Le vide est plein de magnétisme. Le magnétisme est une information potentielle. Lorsqu’il y a trop d’agitation ou relation proche avec un milieu réactif (matière dense), l’information devient signifiante et se concrétise dans des conditions à même de participer à l’équilibre du milieu de vie.

Retenons que le magnétisme est ce vide informationnel et ondulatoire, qu’il est très rapide et qu’il est en relation directe avec les différents états de matière que nous connaissons.


L’énergie peut être associée à une quantité de mouvement. Un mouvement n’est jamais sans conséquence, il interagit au sein de tout un environnement cohérent. L’énergie est alors un mouvement informationnel, porteur de nouvelles options de modélisation et appelant de nouvelles réactions compensatoires. L’énergie est partout où ça bouge, et tout bouge.

Onde ou matière, tout vibre. Mais nous avons vu que tout ne vibre pas sur le même tempo. La matière est lente et concentrée, l’onde est plus rapide et expansée. Il y a des matières plus lentes que d’autres, et des ondes plus rapides que d’autres. Les vibrations que nous connaissons assez bien pour les utiliser sont ‘lentes’. Elles sont directement issues de la matière qui elle-même est très lente, même si des ondes électromagnétiques émanant de courants électriques sont plus rapides que des ondes sonores émanant d’objets solides. Plus la matière est ‘solide’ et ‘stable’, plus le mouvement est lent. Plus une onde transite une information globale et distancée d’une matière déterminée, plus elle est complexe, plus son potentiel exprimable est large, plus son potentiel magnétique est riche, et plus son mouvement est rapide.

S’agissant d’énergie, plus un mouvement est puissant, plus il traduit une forte énergie. La rapidité de mouvement est un facteur déterminant de sa puissance et donc de l’énergie déployée. Si nous cherchons une forte énergie, nous pouvons nous tourner vers quelque chose de rapide. Le plus rapide semble se trouver dans le vide. Le magnétisme, qui occupe le volume du vide, s’exprime sous forme d’ondes complexes, plus rapides que tout ce que nous avons pu envisager jusqu’alors.


L’énergie du vide peut s’envisager comme le potentiel énergétique du magnétisme. Elle est donc partout autour de nous… et en nous. Puisque le vide magnétique occupe l’essentiel du volume de notre espace, cette énergie est la plus abondante, la plus puissante, la plus universelle, applicable à un large spectre d’applications de par sa neutralité malléable. L’énergie du vide est un potentiel faramineux. Mais elle reste un potentiel à saisir.

Ce potentiel, la nature s’en saisit. La nature l’exploite continuellement, c’est le moteur de l’équilibre vivant. Toute l’information établissant la cohérence de notre milieu de vie se trouve là. Toutes les transformations et tous les états de matière sont des potentialités codées dans un même message globalisé au sein du magnétisme du vide. Une onde magnétique est un ensemble de possibles qui s’organiseront et se spécialiseront en fonction des données du milieu dans lequel elle se propage. Toute forme de matière est un potentiel à émerger du magnétisme. Cependant, le magnétisme baigne toujours dans un milieu de vie qui détermine d’ores et déjà une première orientation. Le magnétisme d’une cellule est calibré en fonction du cadre de vie et de stabilité de cette cellule. Le magnétisme intersidéral, en fonction d’un ensemble planétaire. Le magnétisme humain, en fonction d’un organisme vivant basé sur son cœur. Tous les vides magnétiques sont calibrés sur le cœur du système avec lequel ils travaillent. Ils nourrissent le système, et le système les nourrit. Mais dans tous les cas, bien qu’il puisse déjà être orienté vers une forme relative à son système proche, le magnétisme reste un potentiel d’expression universel de toutes formes imaginables. C’est ce qui permet aussi à l’information du vide de relationner et s’échanger avec les systèmes voisins.

Le principe de conversion, de l’information vers la matière et de la matière vers l’information, est toujours le même. Considérant l’information comme magnétisme, du magnétisme émerge l’électricité, de l’électricité émerge la chimie, de la chimie émerge la matière. Le processus est identique en sens inverse, de la matière vers la chimie, puis l’électricité et enfin le magnétisme. Il s’agit d’un cycle immuable et valable en toutes conditions. Il est important de comprendre que les différents états de l’information se conservent à tous les niveaux. Il s’agit simplement de l’expression d’une forme prépondérante à chaque développement, mais l’entièreté de l’information et de ses potentiels est conservée. C’est ce qui autorise les transformations cycliques. Les transitions, du magnétisme vers la matière comme de la matière vers le magnétisme, se font sans aucune perte d’information et de potentialités. Par exemple, comprenez que la matière est composée de structures moléculaires ‘figées’, mais aussi de réactions chimiques associées, de courants électriques orientés, et de magnétisme occupant l’interface de vide informationnel en interne et en externe. Tous les états coexistent dans un élément de matière. La matière est au sommet du cycle, et elle contient tous les états précédents car elle conserve l’entière information mais n’en exprime qu’une partie spécifique. A contrario, le magnétisme est la base du cycle. Il est donc présent à tous les niveaux supérieurs de transformation. Cependant, il ne contient pas d’autres états réalisés que sa propre forme lorsqu’il est seul ou ‘pur’ magnétisme. En résumé, le magnétisme se suffit à lui seul, l’électricité cohabite avec le magnétisme, la chimie cohabite avec l’électricité et le magnétisme, et la matière cohabite avec la chimie, l’électricité et le magnétisme. Dans tous les cas, l’information du potentiel global (exprimé + non exprimé) est conservée et identique. L’éther est conservé, il change simplement de forme exprimée. Ce changement peut être vu comme une modification d’organisation du magnétisme privilégiant un codage particulier, un message plus ou moins finement déterminé. C’est une modulation de densité et de mouvement de l’information. Ce mouvement définit l’énergie mise en jeu, l’énergie exprimée et le potentiel énergétique contenu. Cette affaire de transition est alors fondamentale quant au déploiement de l’énergie.

Plus la transition d’un état à l’autre est progressive et douce, plus le mouvement est progressif et doux. L’énergie déployée semble maitrisée et constructive, tant en interne qu’en externe. La conversion d’état, opérée en interne d’un élément, se fait dans le même temps que l’environnement externe puisse s’y adapter tout en conservant son intégrité. L’énergie est contenue dans le périmètre dédié à l’opération, elle est exploitée à bon escient. Le rendement est optimisé selon le meilleur compromis à établir entre une nécessité interne et un contexte externe, ou l’inverse, en priorisant le meilleur équilibre global du milieu de vie.

Plus la transition d’un état à l’autre est rapide et brutale, plus le mouvement est rapide et brutal. L’énergie déployée est concentrée en un temps et un espace contraints. L’énergie est explosive. Elle est destructive au-delà du périmètre de l’opération de transformation mise en œuvre. L’élément même à l’origine de la transition est mis en péril, de façon directe par la violence du mouvement, et de façon indirecte par la déstabilisation de l’équilibre du milieu de vie.

La nature est faite de ces transitions permanentes vouées à maintenir le meilleur équilibre. C’est simplement ce que l’on peut appeler ‘le vivant’. Les transitions naturelles sont majoritairement progressives et douces. C’est en particulier vrai pour des organismes complexes (comme le corps humain). Ce type d’ensembles contient une grande diversité d’états (magnétisme, électricité, chimie et matière), et cela permet plus de souplesse et d’étagement de ‘petites transitions’ assimilées vers de ‘grandes transformations’. Cependant, de temps à autre, la nature opère aussi quelques réajustements rapides et brutaux. Certains peuvent être dévastateurs, tant sur de petits éléments que sur de grands ensembles. Pour exemples modérés et parlants, un orage sur nos têtes ou une poussée de fièvre dans notre corps en sont des manifestations. Ces évènements ont toujours pour objectif de réguler l’équilibre d’un système.

En dehors des évènements naturels, il y a ceux que nous provoquons… Nous cherchons à canaliser l’énergie, la dériver pour l’utiliser à des fins déterminées. Il n’est pas rare que nos objectifs soient tournés vers la satisfaction d’un confort immédiat, des besoins égocentrés et pas toujours naturels. Cependant, cette démarche revient à optimiser une mécanique naturelle, et cela nécessite d’en comprendre et respecter les règles de fonctionnement. Alors, plus l’outil est d’un potentiel puissant, plus son utilisation doit s’envisager dans un cadre bien établi. Un cadre de maitrise élevée, et un cadre vertueux pour l’ensemble du système naturel auquel nous appartenons. Un défaut de bonne compréhension, ou d’orientation trop égocentrée, pourrait représenter un risque majeur.


En pratique, nous savons diriger des flux, les canaliser et les concentrer, pour générer une énergie augmentée en un point ciblé et opérer certaines transformations. Entre autres, nous utilisons l’eau, les combustibles, l’air, l’électricité et la lumière de cette manière. Nous les combinons aussi pour obtenir l’un à partir de l’autre par exemple. Les applications sont multiples : véhicules, éclairage, communications, stabilisation et régulation de milieux, opérations de précisions, etc. Il est toujours question d’énergie, de transformation ou de stabilisation, et de canalisation de l’impact en un lieu et un temps définis. Une des dernières avancées, bien connue et notable, est le laser par exemple. Le laser, cela peut être vu comme l’utilisation de l’électricité pour générer de la lumière, la concentrer et la canaliser. C’est une maitrise de l’énergie qui peut s’avérer puissante et fort utile, mais aussi dangereuse. Et après l’électricité et la lumière…? Après, pour espérer plus puissant, on peut penser à plus rapide. Plus rapide, c’est le magnétisme.

Avec de l’électricité, on génère de la lumière. Mais on sait aussi qu’avec de l’électricité, on génère forcément un champ électromagnétique. Nous savons canaliser l’électricité, nous savons canaliser la lumière… il ne reste plus qu’à canaliser le magnétisme pour optimiser l’énergie du vide. Yaka.

Concentrer et canaliser le magnétisme, c’est concentrer et canaliser une énergie potentielle. Cette énergie potentielle contient toute puissance et modulabilité. Ses applications et ses risques sont donc extraordinaires. Pour le principe d’utilisation, il est comparable à ce qui se fait de nos jours. Les conditions d’exploitation sont évidemment bien plus prometteuses, mais bien plus délicates. En considérant le magnétisme comme la ‘substance première’ de toutes les autres formes et énergies, tout autre élément est réactif à ses variations. Prenez un caillou et déplacez-le dans un champ magnétique modifié, il s’adapte et les effets seront fonction du différentiel d’intensité du champ magnétique. Prenez un bonhomme humain et déplacez-le dans un champ magnétique modifié, idem. S’agissant d’un humain, le psychisme (informationnel) est affecté avant le physique (matière concrète). Un état magnétique modifié implique un état de conscience modifié par exemple. S’agissant d’un caillou, il n’est pas question de psychisme mais directement d’état de matière. Un état magnétique modifié implique un état d’organisation moléculaire modifié. Tout ceci illustre simplement des changements d’état. Tout va bien tant que ces changements sont supportables par l’élément concerné, et tant que la transition reste ‘progressive et douce’. Les limites supportables, comme la vitesse de progression admissible, varient en fonction de chaque élément. Un humain et un caillou n’affichent pas le même spectre d’adaptabilité, ou du moins pas les mêmes critères.

Alors, dans des conditions maitrisées, il peut être envisagé d’exprimer tous les états imaginables entre onde et matière. On parle même de matérialisation et de dématérialisation. On parle même de dématérialisation et rematérialisation, disparition et réapparition, dans une maitrise très fine supposant de conserver la cohérence de la structure informationnelle (ou moléculaire) de l’élément disparu… C’est faramineux. Plus sobrement, il s’agit de s’offrir ce que certains appellent un ‘état de conscience modifié’, ou bien de voir des barres de métal se tordre toutes seules. Je prends ces exemples ‘sobres’, car certains humains semblent capables de les induire d’eux-mêmes. Effectivement, il me semble important de rappeler ici que le champ magnétique n’est pas qu’externe, mais qu’il est aussi généré en interne. Aussi bien que nous devrions nous adapter à un milieu magnétique modifié dans lequel nous serions plongés, nous pouvons aussi modifier par nous même le milieu magnétique dans lequel nous baignons. Nous pouvons également concentrer et canaliser notre état magnétique afin de le diriger de façon ciblée à l’extérieur, pour tordre une barre métallique, déplacer des objets, ou partager de l’énergie avec quelqu’un d’autre par exemple.

Maintenant, il est plus évident que ce genre de bricole peut être déployé plus puissamment, sur le même principe que de concentrer et canaliser de l’électricité ou de la lumière. Tout ça demande des capacités technologiques plus avancées, mais c’est accessible…


Attention danger !…

Trouvez un contenant convenable pour stocker du vide (une atmosphère la plus propre possible) et résistant à une forte pression, agitez le contenu depuis l’extérieur (par une forte puissance électrique diffusée sur le contenant par exemple), le vide intérieur s’agite, c’est juste de l’information agitée, c’est juste du magnétisme qui se concentre. La concentration devient telle que le contenant réagit, et… tout pète suivant un changement d’état rapide et brutal. Les dégâts externes sont proportionnels au différentiel de tolérance entre le contenant et les éléments du milieu externe environnant.

Faites la même opération et, juste avant que le contenant réagisse, prévoyez une échappatoire pour que l’onde magnétique puisse s’évacuer. Cette échappatoire canalise et oriente un flux concentré vers une cible choisie. Vous lâchez tout d’un coup. Tant que l’onde voyage dans un milieu peu réactif (l’atmosphère), elle voyage… Lorsqu’elle rencontre un milieu réactif (matière dense), il y a changement d’état rapide et brutal…


Attention, miracle !… ou pouvoir…

Suivant un principe similaire, stockez et isolez un volume de vide. Prévoyez de pouvoir modifier son état informationnel, depuis l’extérieur ou depuis l’intérieur. Vous pouvez alors exciter ou apaiser ce milieu magnétique. Cette fois, vous maitrisez et modulez le champ magnétique. Une fois que le potentiel énergétique et informationnel voulu est stabilisé, vous déchargez l’onde de manière ciblée sur un élément, ou de manière diffuse dans un périmètre choisi. Fantastique, les états de conscience et de matière sont dans vos mains. Vous transformez et régulez à la demande…


Reste à savoir se contenir concernant le danger, explorer prudemment et progresser vers une connaissance sûre.

Une connaissance sûre est-elle salutaire pour tous ?

Reste à savoir ce que l’on fait de cette connaissance en termes de miracle et de pouvoir.


Le vide héberge l’énergie, le vide circule l’énergie, c’est un champ ondulatoire, c’est l’information du milieu, c’est le potentiel d’expression contenu, il est partout, il est la composante essentielle de notre univers. L’énergie du vide est magnétisme, tout en est une expression particulière, tout en émet, tout en reçoit.


Voilà pour le petit topo. A bon entendeur… A explorer avec modération, en bonne connaissance, à la mesure de ses capacités et de ses objectifs, en connaissance de causes et d’effets quant à soi-même et son environnement.


NB : Tout est information. Tout est une affaire d’attraction ou de répulsion d’informations. La force d’attraction la plus puissante que nous connaissons, nous l’appelons ‘amour’. L’énergie du vide exprime cette force, elle relie tout notre monde, elle nous relie aussi, c’est aussi de l’amour. L’amour est l’énergie créatrice la plus puissante que nous pouvons développer. Observez vivre ce vide entre vous et l’autre, apprenez à l’écouter et le relier sagement. Sachez aimer et vous remplir d’amour.



Basty - L’énergie du vide - Extrait du livre ‘accord pensé’ - 2024 - www.etreconscient.com

Image d’illustration générée par IA sous WordPress

acheter le livre : - amazon - fnac - Librairies Indépendantes -

lecture 3 lectures
thumb 0 commentaire
0
réaction

Commentaire (0)

Tu dois être connecté pour pouvoir commenter Se connecter

Tu aimes les publications Panodyssey ?
Soutiens leurs auteurs indépendants !

Prolonger le voyage dans l'univers Développement personnel
Jour 262
Jour 262

La vérité n’a pas besoin d’être criée, elle se suffit à elle-même. — Franck...

Franck Labat
1 min
Jour 260
Jour 260

Les certitudes sont les barreaux des esprits faibles.— Franck Labat

Franck Labat
1 min
Jour 252
Jour 252

La solitude est l’ombre fidèle de ceux qui pensent trop. — Franck Labat

Franck Labat
1 min
Jour 251
Jour 251

Un monde sans doutes est un monde sans pensées.

Franck Labat
1 min
Jour 250
Jour 250

La liberté commence là où la peur s’arrête. — Franck Labat

Franck Labat
1 min

donate Tu peux soutenir les auteurs qui te tiennent à coeur

promo

Télécharge l'application mobile Panodyssey