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J'aime pas l'amer !

J'aime pas l'amer !

Publié le 26 mars 2022 Mis à jour le 26 mars 2022 Curiosités
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J'aime pas l'amer !

Une Orange assassine écorce et résine

Fume la paix et peste sur la mer...

Triche à Paris

Rêve d’ici,

D’ailleurs ?



Monstres écarlates quelle heure divine était-elle ?

Une Fleur de laine pique ton « chat grain »

En Roll's sans roues, tu rigoles moins

Des « Sang » domicile, alors fixe la date

Du détour...

Serait-ce un éventuel, retour à la case cintrée

où promènes-tu ton asphalte

Pleine mère, voyage a marée-basse, et passe au refrain

Pourquoi les mouettes étonnent les marins ?

Comment ?

Artiste, madame, vous ne le savez pas

Née dans un ru, vous ne comprenez rien, vous, aux couleurs

Des rivières...

Noire, jaune, verte, ou rouge, eh ben j’suis daltonien !

Silence !
Un mot sans sens

Alors pourquoi tu nages dans l’amer du chagrin ?

Moi, j'ai le sil du ciel comme toit, en ais-je le droit ?

Or le devoir de bâtir une maison, sans famille difficile

D'écouter... Ce désir de bâtir des idées folles, or

Sur mon voilier imaginaire, les écoutes sont au taquet

Et puis...

La pluie déroule ses regrets, sur le livre du néant

Attention Frein !

 

Rire de mes bêtises sur le murmure

De la culasse des bourgeois, Roll's Dégueulasses

Circulez le soir sans feux, votre austère lumière

La nuit, ridicules véhicules, elle pollue le toit d'étoiles

Elle n'ont pas de dentelle, mon « ego » panse

Enfermé dans mon passé, j'imagine que nos vies se croisent

Toujours à l'heure.

Terrible trai-train quotidien

Parfois, je sais que votre regard passe la mer d'Iroise,

Voyez-vous mon toit d'ardoise, par là ?

Les ricochets blessures des cygnes de mon enfance

Souffrance, d'un vieux démon con

Tel un esprit coton, elles filent les « Stars » animées

Oui, elles filent l'envie, dansent, et étonne les poissons

De la mare, « Carpe Dit aime »

 

Arrête de faire sonner la sonnette du serpent

S'il te plaît de me revoir, viens te rasseoir où

Sur le tapis roulant, déferlante de ma mémoire

Une mémoire qui m'isole, me désole et s'absente

A force d'oublier notre feu amour de feux, et...

De rester tapie, clé de Sol, une note abstraite

Délivre-nous des marteaux piqueur

Chante sans attendre, fier d'entendre le son

sensible de ta voix

Voyage, où ?

Ben, là, sur la file devant-vous, le soleil tournesol

De la vie sans humour, de la vie sans Amour

Voltage, je suis ce fils éclectique, parfois électrique

Pas souvent...

 

Alors, ne cherche le cuivre nu de te dorer la peau

Sur une serviette tournedos, soyez, Mademoiselle

Une virgule, une illumination, un zeste,

Devenez une maison, un reste de raison

Rêvez !

Il s'agit d'une obligation

Voyez vous le cailloux de votre pupille

De la nation... Moi, visage qui luit, moi, lui

 

Alors...

Lui, il ne sait pas nager dans la folle foule

Né fleur faner, un Farfadet, pas une lumière

Quoi, vous le jugez, Madame ?

Allez loin du miroir, là lasse

Hélas, il ne reste qu'un phare, vide

Quelques miroirs, pour vous, de la terre

Une glaise ocre marine, admirez l'instant

Pull à l’envers, revenez si vous le pouvez

Comme un bateau naviguant, machine arrière

Sans l'aide du vent, la planète Terre

Refuse de tourner, et devient maboule, folle

D'un trait d’adieu le risque et qu'elle efface

Votre jeunesse naît beauté dans la glace

Ce mensonge éphémère sur la Lettre Q

A quatre « papattes » sur le divin, vous oubliez !

De penser aux vingt heures, l’horaire des malheurs

Des hélicoptères, avions explosent pas de rire, ni moi

La plume, l’oiseau flou, l'oiseau fou

Je n'ignore pas que des trains déraillent, se fracassent

Dent de l'amertume, songe des morsures du temps

Vous, ex-mademoiselle, devenue par l'air ambiant

Madame, vous jouez pendant ce lap's de temps-là

Miami, elle se la coule douce quand des humains sont en cage

La came isole, la camisole m'affole, leur came désole

L’aspirine des îles me rend faux-filet, pas entre pote

Pas un filet de vinaigre mais un hareng sourd

Faux-fuyant, et très loin de la Patagonie

A mille lieux, de ce site Antarctique, adieu antique

Moi, je tique

Elle, moustiques, les avez-vous oubliez Mademoiselle

Lui, il fane et flambe, mort certaine du temps

Quelle importance, si vous dansez !

Le jeu, ancien, Mademoiselle, « miss » ?

Alors, je vous regarde si vous ne pensez plus

Inutile de dire que je m’énerve

Sans vos bras, si nous ne ne rêvons plus !

Mademoiselle, tordez le cou à cette conception

Que j’dois m’enfouir, fuir de peur du violet

Reine des mers, cette baleine à Trois pattes

Le cri du Krill ne vous ressemble pas

Lui a un toit, et votre majestueuse fée,

Elle possède dix doigts, ils flambent ?

Circulons, ensemble la nuit sans feux

D'adieux et sans étoiles

Île ne reste plus de phare

Quelques miroirs de la terre glaise

Ocre marine, de la douleur de votre absence

Pull à l’envers, reviens si « tu » peux en arrière

Moi dès le départ, je sais au moins une chose

Je suis né d’un papa dinosaure

La lumière me caresse, le vent joue dans mes cheveux

Or les chevaux sont libres sans fil électrique

La peau se tend, si tu déshabilles mes idées

Dyslexiques

Électron, étron : « triste » citée : Alors que

Je bande mon arc en ciel

Flèche de cupidon....

...de plaisir, triste solitude, faux

Je pêche exclu de tes filets, tes jambes, tes bras, toi !

Mon amie muse, mon vieux musée aux notes de bonne

Humeur. Je suis ce chien à l'abandon

Je jubile et joue à la balle russe

Je deviens un tourniquet dans la soirée

Fort et fier d’être un poison panné né

Hier.

Au matin sous la rosée d’un petit cru

Du quartier latin

« Carpe Diem »

Sera le mot Faim.

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