J'aime pas l'amer !
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J'aime pas l'amer !
Une Orange assassine écorce et résine
Fume la paix et peste sur la mer...
Triche à Paris
Rêve d’ici,
D’ailleurs ?
Monstres écarlates quelle heure divine était-elle ?
Une Fleur de laine pique ton « chat grain »
En Roll's sans roues, tu rigoles moins
Des « Sang » domicile, alors fixe la date
Du détour...
Serait-ce un éventuel, retour à la case cintrée
où promènes-tu ton asphalte
Pleine mère, voyage a marée-basse, et passe au refrain
Pourquoi les mouettes étonnent les marins ?
Comment ?
Artiste, madame, vous ne le savez pas
Née dans un ru, vous ne comprenez rien, vous, aux couleurs
Des rivières...
Noire, jaune, verte, ou rouge, eh ben j’suis daltonien !
Silence !
Un mot sans sens
Alors pourquoi tu nages dans l’amer du chagrin ?
Moi, j'ai le sil du ciel comme toit, en ais-je le droit ?
Or le devoir de bâtir une maison, sans famille difficile
D'écouter... Ce désir de bâtir des idées folles, or
Sur mon voilier imaginaire, les écoutes sont au taquet
Et puis...
La pluie déroule ses regrets, sur le livre du néant
Attention Frein !
Rire de mes bêtises sur le murmure
De la culasse des bourgeois, Roll's Dégueulasses
Circulez le soir sans feux, votre austère lumière
La nuit, ridicules véhicules, elle pollue le toit d'étoiles
Elle n'ont pas de dentelle, mon « ego » panse
Enfermé dans mon passé, j'imagine que nos vies se croisent
Toujours à l'heure.
Terrible trai-train quotidien
Parfois, je sais que votre regard passe la mer d'Iroise,
Voyez-vous mon toit d'ardoise, par là ?
Les ricochets blessures des cygnes de mon enfance
Souffrance, d'un vieux démon con
Tel un esprit coton, elles filent les « Stars » animées
Oui, elles filent l'envie, dansent, et étonne les poissons
De la mare, « Carpe Dit aime »
Arrête de faire sonner la sonnette du serpent
S'il te plaît de me revoir, viens te rasseoir où
Sur le tapis roulant, déferlante de ma mémoire
Une mémoire qui m'isole, me désole et s'absente
A force d'oublier notre feu amour de feux, et...
De rester tapie, clé de Sol, une note abstraite
Délivre-nous des marteaux piqueur
Chante sans attendre, fier d'entendre le son
sensible de ta voix
Voyage, où ?
Ben, là, sur la file devant-vous, le soleil tournesol
De la vie sans humour, de la vie sans Amour
Voltage, je suis ce fils éclectique, parfois électrique
Pas souvent...
Alors, ne cherche le cuivre nu de te dorer la peau
Sur une serviette tournedos, soyez, Mademoiselle
Une virgule, une illumination, un zeste,
Devenez une maison, un reste de raison
Rêvez !
Il s'agit d'une obligation
Voyez vous le cailloux de votre pupille
De la nation... Moi, visage qui luit, moi, lui
Alors...
Lui, il ne sait pas nager dans la folle foule
Né fleur faner, un Farfadet, pas une lumière
Quoi, vous le jugez, Madame ?
Allez loin du miroir, là lasse
Où
Hélas, il ne reste qu'un phare, vide
Quelques miroirs, pour vous, de la terre
Une glaise ocre marine, admirez l'instant
Pull à l’envers, revenez si vous le pouvez
Comme un bateau naviguant, machine arrière
Sans l'aide du vent, la planète Terre
Refuse de tourner, et devient maboule, folle
D'un trait d’adieu le risque et qu'elle efface
Votre jeunesse naît beauté dans la glace
Ce mensonge éphémère sur la Lettre Q
A quatre « papattes » sur le divin, vous oubliez !
De penser aux vingt heures, l’horaire des malheurs
Des hélicoptères, avions explosent pas de rire, ni moi
La plume, l’oiseau flou, l'oiseau fou
Je n'ignore pas que des trains déraillent, se fracassent
Dent de l'amertume, songe des morsures du temps
Vous, ex-mademoiselle, devenue par l'air ambiant
Madame, vous jouez pendant ce lap's de temps-là
Miami, elle se la coule douce quand des humains sont en cage
La came isole, la camisole m'affole, leur came désole
L’aspirine des îles me rend faux-filet, pas entre pote
Pas un filet de vinaigre mais un hareng sourd
Faux-fuyant, et très loin de la Patagonie
A mille lieux, de ce site Antarctique, adieu antique
Moi, je tique
Elle, moustiques, les avez-vous oubliez Mademoiselle
Lui, il fane et flambe, mort certaine du temps
Quelle importance, si vous dansez !
Le jeu, ancien, Mademoiselle, « miss » ?
Alors, je vous regarde si vous ne pensez plus
Inutile de dire que je m’énerve
Sans vos bras, si nous ne ne rêvons plus !
Mademoiselle, tordez le cou à cette conception
Que j’dois m’enfouir, fuir de peur du violet
Reine des mers, cette baleine à Trois pattes
Le cri du Krill ne vous ressemble pas
Lui a un toit, et votre majestueuse fée,
Elle possède dix doigts, ils flambent ?
Circulons, ensemble la nuit sans feux
D'adieux et sans étoiles
Île ne reste plus de phare
Quelques miroirs de la terre glaise
Ocre marine, de la douleur de votre absence
Pull à l’envers, reviens si « tu » peux en arrière
Moi dès le départ, je sais au moins une chose
Je suis né d’un papa dinosaure
La lumière me caresse, le vent joue dans mes cheveux
Or les chevaux sont libres sans fil électrique
La peau se tend, si tu déshabilles mes idées
Dyslexiques
Électron, étron : « triste » citée : Alors que
Je bande mon arc en ciel
Flèche de cupidon....
...de plaisir, triste solitude, faux
Je pêche exclu de tes filets, tes jambes, tes bras, toi !
Mon amie muse, mon vieux musée aux notes de bonne
Humeur. Je suis ce chien à l'abandon
Je jubile et joue à la balle russe
Je deviens un tourniquet dans la soirée
Fort et fier d’être un poison panné né
Hier.
Au matin sous la rosée d’un petit cru
Du quartier latin
« Carpe Diem »
Sera le mot Faim.