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The Covidian Conspiracy and Supremacism (VII)

The Covidian Conspiracy and Supremacism (VII)

Publié le 15 mai 2022 Mis à jour le 15 mai 2022 Culture
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The Covidian Conspiracy and Supremacism (VII)

Le sujet du jour, ce n'est pas TRUMP (quoique) mais l'AVORTEMENT: le sujet du jour, ce dont On parle et dont il faut parler (mais pas comme un suprématiste aurait voulu qu'on en parle). Sujet politique ? Non, ou pas vraiment; c'est passé dans le droit et même dans l'hypothèse conservatrice (et encore, ce n'est pas sûr du tout, on peut dans sa vie privée être touchée par cette question et être conservateur) d'une remise en question de ce droit fondamental, il y aurait alors toujours des cas à traiter dans l'ordre de la jurisprudence. Alors, comment qualifier ce sujet qui n'émerge que comme du faux débat ? Sujet religieux, confessionnel ? C'est fou comme les problèmes s'enchaînent au bon sens du terme, s'articulant en une seule et même problématique dont le CONSPIRATIONISME (le fait d'être hanté par le complot) est le révélateur (comme en langage photographique) et la CONSPIRATION (factuelle) le symptôme ou l'effet traître.

Car, au fait, la charge imputée (du moins l'une d'elles) par la Justice américaine à Donald Trump dans le cas (non-précédent : inédit, sur lequel statuer) d'une conspiration sans pareil, énorme (a huge conspiracy) est au motif d'une CONSPIRATION (D'ORDRE) POLITIQUE ; c'est normal, il s'agit d'un chef d'Etat donc doté d'un pouvoir à un moment donné etc etc. Autrement dit, nous sommes dans le cas d'un crime étatique, c'est-à-dire d'un viol de la Loi dans l'ordre de l'Etat de droit (certainement pas d'un Etat profond ou alors collaborateur et vice versa). Maintenant, ou de plus, toute imputation puis inculpation etc. d'un crime - que la justice doit, ne peut pas ne pas le faire, qualifier - implique que ce crime ait un motif ou un mobile (en plus d'un auteur; dans le cas d'une conspiration, ce sont des auteurs ou criminels). Ma question est alors la suivante : la conspiration trumpiste est-elle d'ordre politique ? Je veux dire, cette conspiration "démentielle" a-t-elle un mobile politique ou non ? Et comme je n'ai toujours pas la réponse à une question précédente - de quelle confession est Donald Trump ? A quelle confession appartient-il ? -, je me dis que je dois reposer ou affiner ma question ainsi : la conspiration (à charge) trumpiste n'a-t-elle pas un mobile confessionnel ?

Retour en PENNSYLVANNIE (suite de l'article précédent, on enchaîne et on est tout sauf au cinoche), à laquelle l'ex de la Maison Blanche a l'air de tenir comme à la prunelle de ses yeux dans son rally que d'aucuns moquent pour forfanteries sur les réseaux sociaux (par exemple, "Farron Cousin", 14 mai dernier sur ce king maker : "Donald Trump's Endorsement 'Victories' Are Actually An Illusion") ; retour à cet état et à sa capitale (avec capitole)  : PHILADELPHIE. Retour poétique, histoire de bien comprendre ce qu'est le suprématisme (pas nouveau comme phénomène non démocratique, c'est comme les covidiens qui n'inventent rien mais qui pompent ou piquent, qui s'invitent ou plagient...); quelques lignes, quelques bribes d'un long poème belge commis par William Cliff (ça change des infos, ça peut les compléter...) intitulé "Philadelphia" (in America, suivi de En Orient, NRF Poésie/Gallimard, 1986, pp. 77-87), des lignes-bouts qui font quand même "drôle" (nous mettons en italique ce qui relève de la citation dans ce qui suit). Pourquoi "drôle" - "mal à l'aise" - parce que le locuteur amer décrit un paysage urbain avec son ghetto noir (très suprématiste, non ?), et un/"le ghetto dont n'a pas idée la vérité d'un peuple américain" (laquelle de vérité?), sa Marketstreet où des rats blancs sont perceptibles, son tramway et Germantown, la contrebande et le fric avec le porno, l'estuaire (ah ?) du Delaware, le district italien jaune qui est réputé historiquement pour ses intellectuels et ses pédés, la Penn University (ville de William Penn oblige, fondation de la secte des Quake

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