Toute CONSPIRATION (une conspiration, quelle qu'elle soit) est condamnable. Elle est condamnable juridiquement et moralement. Elle est condamnable par la Justice et ses lois (le droit comme système constitutionnel) parce qu'elle enfreint la loi, la subvertit, la méprise et en l'occurrence le fait d'une hauteur suprématiste. Elle est condamnable moralement parce qu'elle est attentatoire à l'être humain en tant qu'être humain c'est-à-dire comme fin alors qu'elle le considère comme un moyen et même comme un objet (un jouet, quelque chose de manipulable et jetable) en ayant recours à la ruse et à la force : toute conspiration est lâche. 

Le COVIDISME (un dangereux virus pandémien totalement inventé ou une éviction de sens : nonsense covid) aura été la pratique éhontée de l'illégalisme (ils gouvernaient à coup de décrets, de diktats !); et il aura été la tentation (parlons leur satanisme de langue de vipère) ainsi que la tentative de violer le code de Nuremberg, en l'occurrence de passer outre par le projet d'une vaccination obligatoire et de masse. La monstruosité covidienne - great reseatienne - ou conspiratrice aura été celle du POUVOIR conçu comme autorité légitime (?) car en place (j'ai le pouvoir, je fais ce que je veux) avec tous les moyens atroces et abjectes d'une POLICE se croyant tout permis comme si elle faisait la loi ; mais elle ne la fait pas, et elle ne la fait pas non seulement parce que ce n'est pas son rôle mais elle ne la fait pas non plus parce qu'elle recontrera automatiquement des résistances démocratiques de forces de divers ordres et d'intelligence ainsi que de valeurs ne relevant ni d'un quelconque programme ni de la peur ou de l'intimidation.

La crise actuelle, et sa sortie car il se passe de bonnes choses, est une crise institutionnelle et certainement pas constitutionnelle (ils en ont rêvé, tant pis pour eux).

Le Corona virus - opération de code COVID19 - est une affaire américaine ; et les Américains sont en train de bien ou de savoir se défendre en tant que corps social intoxiqué par du FAUX institutionnalisé, instillé et répandu dans son ensemble ou dans presque tous ses membres. Vu les astuces et tactiques employées, cette affaire américano-cinématographique ressemble à un Far West externalisé, sans foi ni loi ou tout comme : un très mauvais film spaghetti, un mélange des genres (alors la querelle du transgenre..... !!!) ou un brouillage des lignes (le sans fin trumpiste, pratique de ganster) telle celle du POLITIQUE et du RELIGIEUX avec confusion mentale d'un suprématisme qui veut remplacer la démocratie (sens général, sans étiquette de partis) par une théocratie ou avénement d'un Royaume sur Terre .

Donc, deux axes d'étude rapide aujourd'hui : la question de la religion dans ses limites, le débat autour de l'information/désinformation ou la vérification que le post-truth est une ineptie parce que ce n'est pas tenable ou pas vivable à long terme et que la démocratie, pas qu'en Amérique, est en convalescence; et que, même au bout d'un certain temps, l'observation et la réflexion conduisent au décryptage des hbaitués du sans gêne et adeptes d'un contrôle-désordre.

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Une émission podcast en ligne le 21 mai dernier (hier) - The Weekly Dish - ne pouvait mieux éclairer la situation délibérément confuse aux USA, entretenue par un trumpisme (du vide, du bluff...) alors même qu'on ne sait pas à quelle confession appartient Donald Trump (peut-être à aucune, mais il a bien une origine lui aussi cest-à-dire une provenance culturelle ou cultuelle...). Voici l'objet de cette émission : "On Religious Liberty, CRT, Grace". Et voici le propos de cette émission : "The Christian conservative Tennessean who became a foe of the Trump right". Il s'agit d'un long entretien en date du 20 mai entre Andrew Sullivan (l'animateur, journaliste) et David French (écrivain, homme de loi etc.) dont le but est How restore our Nation ? Le terme de Nation, je pense, est à comprendre comme terre de naissance (en l'occurrence les Etats-Unis d'Amérique), le contraire d'un nationa