Hier, The Art Newspaper Daily m'a offert l'occasion de rebondir davantage dans l'analyse de la situation POLITIQUE actuelle et notamment en ce qui touche aux USA. Voici l'un des titres lus qui présageait beaucoup quant au contenu de l'article : "Palestinian sovereignty and Roe v. Wade referenced in works brought to a particlarly political frieze New York". En effet, ce texte traite ensemble deux champs inséparables - ART et CITOYENNETE et qui dit bien ce qu'est le free speech  ou liberté d'expression (droit de parole) ; car c'est de cela dont il s'agit, et non de débat. Il est bien question de "contemporain" (sic) et de diversité synonyme de progressisme (non de même synonyme de conservatisme). Deux oeuvres sont mises en regard : celle de Nancy Grossman qui traite du corps humain des femmes au moment opportun où le DROIT D'AVORTER paraît menacé, avec une installation végétale au quatrième étage de la foire d'exposition new-yorkaise (Trigger Planting, 2022) par le collectif How to Perform an Abortion, celle de Basel Abbas & Ruanne Abou-Rahme (un duo artistique) qui pose la question de la politique et des injustices qui tourne autour de la PALESTINE (question posée, en ce sens, du territoire) et qui le fait par-delà (accross) les cultures (transversalement si vous voulez) avec un  texte d'Edward Said, After the Last Sky (1986) qui rappelle the Great March of Return protests in Gaza en 2018 et 2019. Oui, le FREE SPEECH est REVENDICATION, droit qui ne se négotie pas et appelle à sa défense acharnée quand il est susceptible de disparaître; c'est pourquoi le droit de s'exprimer est la contestation ou le refus de la censure, rien mais alors à voir avec le débat.

La CENSURE, qui n'est pas le TABOU ; et côté suprématisme (blanc: je mets ceci entre paranthèse car c'est de fait redondant, c'est juste pour bien clarifier l'enjeu d'une guerre qui est menée contre la démocratie) c'est-à-dire TRUMP, on peut dire qu'il s'agit bien de tabou ou non-dit (impossibilité de dire, impuissance en ce sens) plutôt que de censure ou interdiction de dire.

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C'est l'occasion de revenir au sujet du jour, le vedettariat du post-covidisme qui met au rebut une visibilité politique ou publique. Il ne s'agit plus de Tucker Carlson (il a eu son explication corporatiste), mais d'Elon Musk et le parallèle entre les deux hommes ne vaut pas. Pourquoi ? Epoch.tv (20 mai 2022) titrait : "Elon Musk Should Forget About the Vile Twitter". C'est assez incroyable comme titre, à la limite de la menace par le ton (il devrait oublier....) ; le milliardaire, ennemi de Gates et il en est à peu près de même concernant Trump (il n'est pas ,difficile de le deviner), est en butte à une véritable opposition (une opposition diffuse, pas franche, suspicieuse) voire carrément face à une sorte de barrage : c'est tout comme s'il devait abjurer le Premier Amendement, en Démocrate qu'il est ou progressiste libéral. Mais, messieurs les adversaires silencieux, Musk est Républicain et a même déclaré qu'il ne votera plus Démocrate; d'ailleurs, le parti Républicain (qui est également démocrate, au sens non partisan) ne veut même plus d'un Trump (suprématiste, donc ennemi de l'égalité de droit qui fait toute bonne démocratie ou régime démocratique digne de ce nom); nous reviendrons sur l'écoeurement d'un Parti presqu'au bord du déchirement. Mais le cas que pose Musk (est-il vraiment un cas ?) aux covidiens (muselière de rigueur) c'est-à-dire aux