Je crains pour eux que le Marathon des Fous se termine. Le COVIDISME New-Yorkais (mais la liste des localisations n'est pas finie), ennemi des Kennedyens, est - never forget - une MAFIA, une GUERRE, un CHANTAGE qui ne dit pas son nom. Et en ce moment, la technique d'AGRESSION est à son haut (pas fort) point. M. J. Biden crie au "criminel de guerre", un bruit qui court ; ça tombe bien, j'ai évoqué hier l'extension de la notion de WAR CRIMINALS, étant donné que les crimes de guerre (des pires guerres) visent et frappent et des civils et des non-civils (assassinats) et comme c'est intéressant que le punching ball américain - le journaliste Julian Assange - ait (eu) des choses à dire sur ce sujet-là mais oui mais oui et, au vu de l'acharnement nord-américain sur sa personne, c'est forcément que des noms (et de tués et de tueurs) sont tus pour l'instant et qu'ils peuvent fuiter à tout instant. Encore une cachotterie (oui je sais je suis trop gentille, mais Comes a time !) des covidiens. Allez les minds controlers, sus..... suspens ..... Penser n'est pas automatique, réfléchir prend un petit peu de temps, philosopher suit aussi des étapes ; contrairement à la machine (robotique), la vivacité de la pensée (so human) - cette vitesse qu'elle peut prendre parfois, cela s'appelle un régime (de pensée) - fait parfois des miracles : cela s'appelle une idée qui vient, comme ça.... Donc patience, patience, patience....

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Au programme des festivités de la Résistance en Marche (pas maoîste pour un poil, ni d'ordre communicationnel), ces points déjà retenus après lecture qui nous aideront à revenir sur cette notion très importante de war criminals (vous savez qu'en temps de guerre, on tue, on viole, pille, spolie etc etc.) :

CHD.TV (16-03-2022) diffusait un discours de Robert Francis Kennedy, Jr (ça va encore les énerver, nous ça nous intéresse et réjouit : ça nous avance) : "Robert F. Kennedy, Jr's Full Keynote Speech At the United We Stand Tour During SXSW - Austin, TX, Free and Equal Presents". Ce que j'en retiens, c'est d'une part et principalement (il est important qu'un Américain parle sur l'histoire de son pays, en pleine répression gouvernementale du passé politique) ce Coup d'Etat (il y revient non sans raison, à cause de son ampleur et du risque grave au plan démocratique c'est-à-dire institutionnel) du moins sa tentative (Ils ne doivent pas en être à leur premier coup) sous administration Biden (et l'administration américaine ça a l'air quelque chose..., vu d'ici) avec un Président qui est en train de jeter la vindicte populaire sur Po