Rêveries autour du rêve...
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Rêveries autour du rêve...
ou de l'antithèse du rêve face à la réalité !
Dure réalité, le mot REVER si on devait le renverser ferait quand-même REVER !
Avant-propos sur la "journée du Rêve" du 25/09/2022
Le rêve n'a pas de réalité, il n'est que délire inconscient de l'esprit, délire par nature porteur de joies et créateur de bonheurs. A son analyse, Freud le traduisait comme une manifestation psychique inconsciente de l'esprit possèdant une consistance propre à s'articuler à une réalité matérielle. Du rêve proprement dit les fantasmes sont proches, comme les pulsions qui en sont une dérive maladroite. Préoccupons-nous seulement des rêves...
Le rêve est une activité -généralement- nocturne de l'esprit qui se complait allongée, désinhibée, physiquement décontractée et mentalement désénervée pour se réaliser. Un vrai rêve se nourrira de réalités gommées, de suaves douceurs, de fantasques pensées, d'illusions utopiques et à l'opposé de chimères. Mal barré pour en tirer un projet réaliste !
Une évidence consciente de la naïveté humaine est qu'un rêve ne se raconte pas, il se vit.
Et un rêve qui se vit peut devenir un souhait muable un projet, conçu avec toute la rationalité d'un esprit sain. Tel "rêve éveillé" aura pour raison de réussir d'être censé, pensé, rationnel et construit, les meilleurs ingrédients pour qu'il puisse devenir réalité. Et pour le vendre, -car telle devient sa matérialité-, il faudra lui impulser cet élan et ce souffle à expulser : croire en son désir pour en faire un vrai projet ! Or si on est propriétaire de ses rêves, on ne l'est pas de ce que l'on en fait, comme de ce que d'autres en traduiraient.
Et de là on passe au coeur du sujet du concours-d'écriture sur ce thème, que je traduis en : "comment prendre conscience, sous toutes ses formes, de l'avenir de notre planète et de proposer des axes d'améliorations".
Le sujet est vaste, bien trop vaste pour être contenu et utopique, bien trop utopique et irréaliste, bien trop irréaliste pour s'y impliquer car il ne dépend pas de l'intérêt de chaque volonté d'évoluer dans le sens d'une vision générale ; mais des seuls qui tiennent les manettes et ont intérêts à les manipuler dans le sens qui les satisfait...
Partant de là, les dés sont pipés et nos merveilleux souhaits de changer le monde et notre destinée, partis en fumée. L'homme n'est qu'un pantin désarticulé qui aura eu le malheur de confier ses ficelles à des manipulateurs patentés, genre "illuminati" éclairés.
Dure réalité, le mot RESSASSER si on le renversait, fera toujours RESSASSER...
Si je devais prononcer un seul rêve-voeu, idéal d'utopiste :
"supprimer les obstacles qui empêchent liberté, égalité et fraternité de se développer. Une fois fait, on pourra enfin conjuguer en toutes langues amitié avec solidarité..."
Inutile de philosopher et cessons de rêver.
Texte inspiré de l'oeuvre "Utopia" (1516) de Thomas More : "l’utopie peut-elle être réalisée ?"
Credit-photo de couverture : Futura-Sciences.com
Bernard Ducosson hace 2 años
Bien dit !
Luce hace 2 años
Rêver, Ressasser, Ressusser aussi non? Ah non c'est ressucer zut ;-) on aurait pu rire un peu ;-)...
Dans le courant Supramental, les rêves sont des lignes de temps parallèle où se passent une autre réalité que celle que nous vivons... Certains y ont accès d'autres pas... Se pourrait il que nous puissions créer notre propre réalité en rêvant tous très fort? Suffira t il d'y croire? Non!! Il faudrait être sur! Il faudra savoir!! Enfin!
Amitiés Luce