Malgré les cheikhs, les couleurs LGBT de notre ministre des sports ont semé la zizanie au pays des abayas.
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Malgré les cheikhs, les couleurs LGBT de notre ministre des sports ont semé la zizanie au pays des abayas.
Avant-propos :
- LGBTQIA est l'anagramme de "BIGLAT Q" qui ne veut rien dire, mais l'entendre dévoile son contraire. Quand "biglât" représente la 3° personne du subjonctif imparfait du verbe bigler (synonyme de loucher), peut-on dire que "loucher sur le cul" pourrait symboliser de plus secrètes pensées ?
- LGBTQIA+ = lesbiennes, gays, bisexuelles, trans, queers, intersexes et asexuelles ; c'est à dire pour désigner des personnes non hétérosexuelles, non cisgenres ou non dyadiques. (wiki). Vous me suivez ?
-Le mouvement LGBT évolue chaque fois que "nait ses serfs" en devenant LGBTQIA+ formule qui ressemble plus qu'elle ne rassemble à tous ceux qui souffrent de leurs singularités sexuelles ; qu'elles fussent coupables ou oui. Ainsi le zoophile n'est-il pas encore admis au club, "car avant d'aimer les zanimaux il faut taimer les zoms" et par-dessus tout ses semblables. Tel est leur langage et telle est là leur différence.
Le "petit +" ajouté à la formule ouvre de nouvelles variantes aux mouvements qui phagocytent tant de nouveaux genres naissant au fil de leurs nombreuses expériences de croupes ; comme l'asexualité, la pansexualité, la bispiritualité et afin d'en faire une généralité, tous ces maux qui finissent par aliter...
Toutefois, tels maux n'ayant pas encore été admis par des Académiciens toujours verts mais à vide de nouvelles découvertes, ils ne sauraient entrer de force dans notre panoplie d' "aux mots sexuels." Attendons donc leur bon vouloir, ne sont-ils pas éternels dans leurs décisions ?
- LGBTQIA+, pour se souvenir de l'ordre de ce nouvel acronyme sans avoir à le déformer -lui qui a eu tant de mal à se former-, voici un mnémonique qui vous le remémorera à partir de ses initiales : "Les Genres Bien Tordus, Qu'Ils Avortent +" et pour que ceux-là ne se reproduisent plus...
Pour le match contre le Maroc, Amélie Oudéa-Castéra a endossé un drôle de pull bariolé à manches "arc-en-ciel" mais sans les dégrader de blancs et de noirs qui n'ont jamais été des couleurs mais des nuances ; avec les variations qu'on leur connaît comme deux tendances courantes qui se sont peu souvent opposées sur une pelouse pour prendre quelques couleurs ensemble, dans ce tout bête "jeu de ballon pris aux niais" qu'est le foot...
Stupéfiants ? Qui sait, mais le coq a cette fois terrassé le lion à coups de becs répétés et là reste un exploit contre nature. Saurait-il se répéter ?
Pour votre si provocateur "pue l'ovaire" bleu-pétrole qui aura indisposé l'émir, Madame la Sinistre des Mports ; le Prince -sans rire- du Qatar a pris offense de votre faute de goût en sa présence. A ses yeux vous valez déjà -je dis cela sans aucun filtre-, moins qu'un paquet de camels ; ce qui est bien peu dire dans cette contrée reculée où la mécréante n'a jamais eu droit au chapitre et se doit de baisser des yeux écarquillés, emprisonnés derrière une grille de tissu !
Sans que l'émir rage ne vienne obscurcir le ciel, il n'y a pas d'arc-en-ciel au Qatar, Madame, car il n'y a jamais d'orage ; cette "eau des espoirs" tant vantée par Corneille...
Ce sidi...