Confinement, celles que je n'ai pas eues !
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Confinement, celles que je n'ai pas eues !
"Les femmes désirent ce qu'elles aiment, les hommes aiment ce qu'ils désirent ! (Sacha Guitry)
Un texte libertaire pour une digression en Absurdie sous forme de conte pour adultes. Un hommage à celles qui m'ont manqué, à ces ombres irréalistes ou ectoplasmes informes empreintes d'illusions et de manques, faites de rêves éveillés et de fantasmes exacerbés. A ces créatures qui n'ont existé que par un esprit tourmenté quand je vivais mon confinement à deux : mon miroir et moi-m'aime. Quand on manque de reconnaissance quoi de mieux dans les moments d'incertitudes, qu'un miroir pour se permettre de briser la glace. Bien que mon second prénom ne soit pas Narcisse !
Aude Alavy,
Victime obligée de Lise O' Leman, malgré Marie Valitet avec une certaine Claire Voyance et en hommage à celles que je n'ai pas eues, j'annonce avec la grande Lucie Dittet qui m'accompagnait jusqu'à Laure, que je n'ai rencontré au cours de mon isolement forcé (l'enfer me ment), aucun sentiment d'Eva Nouyssman, de vrai rut d'Anne Himal, de manque d'Eva Zion, ni dépensé de Laure Gasmic, et tout celà Laure Hétucru ? Pourtant Amy Chemain entre mon désir d'être et mon manque physique d'Eva Cuet, Sarah Corde avec cette absence d'Annie Malitais. Certes le manque de contact et d'Ambre Hassad, (Sylvie Aufont d'émois), Laura Manquet à mon désir et Lina Tandu ne sera pas arrivée. Même si Sarah Mollicet du côté de mon intime, bien loin de là un des espoirs de Daisy Luzion tant que je n'y aurai pas goûté, ô Marie Vodage !
Laura Ettais ma délivrance, cette voisine (à l'époque de pas-liée) qui frappera à ma porte. Elle manquait de chaleur et me demandait si j'en avais un peu à lui donner et qu'elle me le rendrait, force aimant, avec intérêts. Une proposition si "allez chante" qu'en cet instant j'ai sur le coup "opiné" (non pas déjà quand-même !)
Elle était Sophie Stiquet et Claire Voillante à la fois comme toutes ces femmes pour qui en rêve j'avais dépensé sur ma personne. Elma Riendy, Mabel Dacotais mais dans ses yeux brillait Laure Gasme. En Béa Tithude, je l'aurai serrée dans mes draps jusqu'à Lise Théry, gelée enserrée avec l'espoir que notre confinement durerait -à corps partagés- incertain tant !
Sur ma sonnette, j'ai rajouté au nom d'Alain Souciance celui d'Inès Perret.
La solitude est une prison (Lao She).
Une digression en Absurdie, un essai "un-vrai-sans-blancs" de Bernard Ducosson.
Toute ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé ne serait que purement fortuite
L'auteur remercie tout correcteur en orthographe de ne pas le contacter. Sans faute...
Crédit-photo de couverture : Tommaso79