C'est le Dr Mercola qui dénonce une fois de plus la privation de leurs droits par les patients (site : MERCOLA,Take the Control of Your Health, 16-02-2022 : "COVID Patients : Kidnapped and Fed' Euthanasia Cocktails' ?" : "How COVID Patients Were Over-Treated to Death"), les protocoles médicaux inappropriés, le refus de la médication de base, tout ce qui ne respecte pas en effet la Convention de Genève. 

L'avant-veille (14-02-2022 : "Your 'Hackable Brain' in the Cloud, a Final Warning"), on pouvait écouter et visionner sur son site une conférence au Département de Sécurité du Dr Charles Morgan sur la psycho-neurobiologie et la guerre (en date du 29 mai 2008) : tout un PROGRAMME, en effet. C'est à des militaires que le scientifique expliquait qu'il s'agit bien de TECHNOCRATIE et non pas d'utopie : terrifiant à certains égards. Voici les points retenus : ne pas s'imaginer que le corps soit quelque chose d'un ou de permanent en ce sens-là; il e'st comparé à une bulle d'eau; c'est le CERVEAU (brain power, brain to brain) qui intéresse le conférencier (et l'idée de possession est un des thèmes traités), c'est comment il marche ce qu'est l'excitation neuronale; et, autre point : qu'est-ce que l'esprit ? Mind is like a mad monkey. Le singe est l'animal d'expérimentation (après le rat) occasionnant des réflexions poussées sur le fonctionnement du cerveau, notamment la micro-simulation avec des essais (à comprendre, conceptualiser) concernant l'envoi et la réception de messages (encoder, décoder) mais selon le schéma de connection (il ne le dit pas) semble-t-il (simple, primaire) du stimulus-réflexe (old fashion hat). Le singe est le modèle ou paradigme, comme le robot; on apprend au singe à se nourrir de lui-même avec une prothèse comme prolongement (un bras artificiel) de son activité cérébrale. Le cerveau est comparé à un ordinateur avec ses algorithmes, ce qui veut dire - aussi, mais il ne le dit pas - avec ses limites du point de vue d'un cadre selon un régime de la nécessité : c'est très intéressant car c'est vraiment la question du CONTRÔLE qui intéresse ce chercheur venu enseigner l'armée; et le contrôle suppose un cadre, il s'inscrit toujours dans un schéma imaginaire assez pauvre comme si le hasard n'existait pas et qu'aucune décision même ou aucune initiative n'était possible. Donc cela ressemble à de la théorie au plus près d'un objectif propragandiste c'est-à-dire politique au sens de ce qui détient un ou du pouvoir. Le chercheur-scientifique s'intéresse notamment au rendement cérébral, sa 'vue' est performative ou performatrice (sor