Qu'est-ce que le "covidisme" ? Pas une doctrine, pas une théorie, certainement pas une philosophie. De l'INTOXICATION MENTALE (a false new normalcy). C'est, notamment, de l'antisémitisme (et même, à certains égards - tant pis - un antisémitisme sémite), de l'inhumanisme (vs transhumanisme), du racisme (je n'ai jamais compris pourquoi, d'ailleurs, on disait "racisme et antisémitisme"), du misogynisme etc etc. Tactiquement, car le covidisme est un état de guerre non déclaré, c'est une pratique généralisé du chantage ou du marchandage, de l'intégrisme, de la corruption financière (et de la mauvaise gestion) et spirituelle.....(une inversion des valeurs). Le maître-mot, le sésame, c'est le nom d'un TABOU : un pseudo pour une société d'assurance qui vaut en réalité pour une organisation américaine du crime (avec ses alliés étrangers, évidemment) - une criminalité organisée :- dont nous savons tous, maintenant, aujourd'hui, de quoi il s'agit mais que nous ne nommons pas tous et toutes et ce pour diverses raisons.

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Pressenza (12-03-2022) titre aujourd'hui (c'est un article de hier) "Des milliers de mots pour la paix en Ukraine" (by Anne Farrell). L'article déplore que les leaders soient à court de mots dans cette histoire, dans cette "guerre atroce" dont il n'explique pas les causes .... Certes, il faut à tout prix désamorcer la Bombe, empêcher l'escalade.... Mais quels mots faudrait-il pour atteindre cet objectif ? Des mots, c'est vite dit, même pesés. Pas d'arrangement avec la paix, j'ai lu ; pas d'arrangement avec la vérité me paraît plus juste au sens où cette fin est la première : vous voulez la paix ? Commencez par chercher (et trouver) la Vérité pour la dire; alors, vous aurez la paix; et la recherche de la vérité (voyez le sort des investigateurs : lanceurs d'alerte, journalistes consciencieux, etc., chercheurs indépendants etc...), c'est une bataille à mener. En l'occurrence, il faut analyser sans état d'âme (sans pathos) ce qui se passe et dire ce qui est, pas seulement ce qui se passe mais comment il se fait qu'il se passe ce qui se passe (pas comme on le raconte, non ce qui se passe) : pas d'arrangement avec la réalité. La "guerre atroce" (sic) n'est pas, à strictement parler, perpétrée par la Russie; les USA (God bless Ukrainian People and American People...) ont une dette c'est-à-dire des comptes à rendre dans cette guerre épiphénomène du fiasco sanitaire. Comme d'habitude, on veut nous faire raisonner binairement comme si et seulement si il y avait deux camps qui s'affrontaient sur le front russo-ukrainien; il y en a trois (la fameuse triangulation que vous pouvez interpréter dans diffférents champs, y compris domestique c'est-à-dire celui de la privacy). Le thème récurrent du TRIANGLE - le fameux Delta du cynisme covidien - insiste de plus bel. Et si vous voulez à tout prix, aussi, trouver une ligne de bataille (de démarcation) dans ce qui se joue internationalement avec le covid (on y est encore, plus pour longtemps mais on y est), elle passe - je répète : microphone microphone - entre les COVIDIENS et les KENNEDYENS ; elle est donc interne à un pays clivé depuis longtemps dont le refoulé politique fait l'effet (je ne sais pas s'il a cet effet, on peut toujours éviter certains dégâts et puis la résistance américaine s'exprime de plus en