

Marco Polo, Philippe de Dieuleveult, Mike Horn et les autres (9) : le sens de l'aventure au XXIème siècle
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Marco Polo, Philippe de Dieuleveult, Mike Horn et les autres (9) : le sens de l'aventure au XXIème siècle
L'opinion qui dit que tous les malheurs de l'humanité découlent de son incapacité à rester sur place et à se débrouiller avec son sort est certes partagée par cette majorité de gens ordinaires qui répondra, une fois encore, que si l'on peut encore comprendre l'importance du rôle joué par les aventuriers d'autrefois dans un monde confronté aux pénuries et à beaucoup d'ignorance de son environnement, la situation n'est plus la même aujourd'hui que notre belle planète est désormais bien connue et dûment cartographiée jusque dans ses moindres recoins et que nous disposons d'une technologie avancée (satellites, drones, etc...) qui sursoit à beaucoup de choses et qui devrait pouvoir rendre inutiles les risques pris par les aventuriers tout en découvrant plus de choses qu'aucun d'entre eux


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Chantal Perrin Verdier 1 anno fa
Un point de vue intéressant et constructif. Je doute cependant que l'aventure favorise le meilleur en nous ; à cause de notre nature instable elle peut nous pousser à détruire toute solidarité ou complémentarité justement pour une question de survie.
Je rejoins Jean-Michel Joubert sur la notion de curiosité : c'est je crois ce qui distingue la race humaine des autres espèces. Notre évolution (au sens le plus strict) en a souvent dépendu.
Jean Michel Joubert 1 anno fa
point de vue à discuter car dans la plupart des sociétés humaines et animales, c'est au contraire le fait de rester en groupe qui augmente les chances de survie de la tribu , de la horde ou du troupeau.
Jackie H 1 anno fa
Pour ma part, je dirai plutôt que l'aventure, comme toute activité humaine, n'est jamais que ce qu'en fait celui qui s'y livre, de la même manière qu'un outil ne vaut jamais que par l'usage qu'en fait celui qui l'utilise. Quant à la question de savoir si l'aventure et la survie extrême renforcent la solidarité ou au contraire exacerbent l'individualisme voire l'égoïsme, je pense que tout dépend de la situation : l'autre est-il perçu comme un concurrent, voire un danger, ou au contraire comme un allié indispensable ?
Chantal Perrin Verdier 1 anno fa
Merci beaucoup à tous deux. J'ai obtenu les précisions que je désirais.
Jean Michel Joubert 1 anno fa
Belle démonstration et très exacte mais tout peut se résumer en un seul mot : la curiosité, héritée peut-être de nos lointains ancêtres qui avaient besoin de connaitre et d'utiliser au mieux leur environnement et détecter l'approche du gibier et des prédateurs.
Jackie H 1 anno fa
Tout à fait !