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Chapitre 14 : Un éclat de passion charnelle 

Chapitre 14 : Un éclat de passion charnelle 

Pubblicato 19 set 2024 Aggiornato 19 set 2024 Romance
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Chapitre 14 : Un éclat de passion charnelle 

 

L’atmosphère devint soudainement chargée de sensualité.

Brandon multiplia les baisers sur mes lèvres et sur mon cou, ses lèvres effleurant ma peau avec intensité. Ses mains, audacieuses, exploraient sans cesse ma petite culotte, qui, sous l’effet de toutes ces émotions, commençait à être imprégnée d’humidité.

Je plongeai mes mains dans les cheveux en désordre de Brandon, tirant délicatement sur ses mèches pour affirmer une certaine domination, cherchant ainsi à exercer un contrôle léger sur lui. Mes jambes se nouèrent autour de sa taille imposante, et je frottai mon pubis contre son désir palpable, chaque mouvement intensifiant l'excitation entre nous.

—        Mmmmh, murmura Brandon.

Nos baisers s’intensifièrent, échangés avec une sensualité telle que j’avais du mal à respirer, tant cette sensation était divine. Brandon me plaça contre le lavabo, retirant ma culotte devenue superflue. Il posa deux de ses doigts sur ma fente déjà abondamment humide.

—        Mmmmh, c’est délicieux, Brandon, lui dis-je en gémissant.

—        Tu apprécies ce que je fais ? Demanda-t-il, en insérant un doigt plus profondément.

—        Oh oui, Brandon ! Mets-les-moi ! Je n’en peux plus d’attendre.

Il commença à introduire un doigt en moi, mais s’arrêta brusquement, laissant un manque insupportable.

—        Qu’est-ce que tu fais ?

—        Je veux que tu me supplies de te faire du bien avec mes doigts, répondit Brandon, en enfonçant un peu plus son doigt.

—        Oui ! Vas-y ! Je t’en supplie, fais-moi jouir !

—        J’adore t’entendre me supplier, murmura Brandon à mon oreille d’une voix rauque et puissante, me faisant vibrer d’excitation.

Je penchai la tête en arrière, fermant les yeux avec force. La sensation était indescriptible. Des éclairs de lumière dansaient devant mes yeux et ma tête se mit à tourner. Brandon avait maintenant quatre doigts en moi, me pénétrant avec une intensité sauvage, mon vagin s’ouvrant facilement sous l’effet de l’humidité.

Je peinais à respirer, mais je ne pouvais me lasser. En quelques minutes, un orgasme violent me submergea tel un ouragan dévastateur. C’était le plus intense que j’aie jamais ressenti, surpassant de loin tous mes plaisirs solitaires. Seul Brandon pouvait m’offrir une telle extase.

Il me fallut plusieurs minutes pour retrouver mes forces après une telle épreuve. Brandon, exténué de plaisir, me regarda avec une lueur d'interrogation dans les yeux.

—        Alors ? Qu’en as-tu pensé ? Demanda-t-il.

—        C’était absolument incroyable ! Jamais personne ne m’avait donné autant de plaisir jusqu’à aujourd’hui !

—        Ah bon ! Pas même ton ancien petit ami ?

—        Maintenant, que j’y pense… Il y avait un jeune homme que j’ai rencontré à l’âge de 18 ans. Il savait bien manier sa queue, celui-là.

Brandon me lança un regard perçant et se détacha de moi.

—        Oh, allez ! Je rigole, Brandon ! Lui dis-je.

—        Ce n’était vraiment pas drôle. Tu aurais pensé si je t’avais parlé de mes aventures avec d’autres femmes.

—        Je te rappelle que c’est toi qui as commencé à évoquer ce sujet, pas moi. Et puis, je sais bien que tu as eu d’autres femmes dans ta vie, tout comme moi, j’ai eu des relations avant toi. Je n’étais pas une novice en amour durant mon adolescence.

—        Je le sais, je ne conteste pas cela. Mais je n’aime pas quand tu en parles.

—        D'accord, je ne le ferai plus. Aujourd’hui, c’est juste toi et moi. Alors viens me faire l’amour, je n’attends que ça depuis tout à l’heure.

—        Eh bien, tu es en manque !

—        Pas du tout ! Ce n’est pas ce que tu crois ! C’est simplement que ton corps m’a manqué, voilà tout.

—        Mouais, c’est ça. Je suis donc si irrésistible que ça…

—        Arrête de faire le macho et fais-moi l’amour ! Tout de suite !

—        À vos ordres, mademoiselle.

Brandon se débarrassa rapidement de son pantalon et de son caleçon, les lançant à travers la pièce, puis s’avança vers moi. Il m’embrassa avec passion et déchira ma robe.

—        Hé ! C’était ma préférée !

—        Ne chipote pas, je t’en rachèterai une autre.

Il continua à m’embrasser, tandis que je pris son sexe en main, le caressant avec rapidité.

—        Attends, sois plus douce, sinon je vais jouir tout de suite, me prévint Brandon.

—        C’est justement le but, non ? Répondis-je de manière taquine.

Je poursuivis mon mouvement, et Brandon grogna de plaisir. Je me mis à genoux, goûtant le liquide transparent qui perlait au bout de son sexe. J’adorais son odeur, et je le savourais pleinement. Brandon saisit mes cheveux et entreprit de guider le rythme qui lui apportait du plaisir, tandis que je m’efforçais de bouger mes mains en même temps que je léchais la partie la plus sensible, prenant soin de ne pas utiliser mes dents.

Cette pratique était un régal pour les amateurs de sexe. Je n’aurais jamais cru que cela me plairait autant, mais avec Brandon, il valait mieux s’attendre à tout. Son expérience était telle que cela pouvait effrayer certaines femmes, moi y compris au début. Même lorsque nous étions dans son bureau, je n’étais ni une experte ni particulièrement sûre de moi en matière de sexe. Pourtant, son assurance m’avait subjuguée, provoquant une peur fugace rapidement balayée par l’excitation du moment.

J’avais eu très peu d’hommes dans ma vie. J’étais une fille discrète, bien que cela ne se remarque pas aujourd’hui. Mais croyez-moi, je n’étais pas le genre de personne à se montrer assurée et à obtenir ce qu’elle voulait. Oh non !

J’étais plutôt le genre à me cacher dans un coin, à éviter de me frayer un chemin parmi la foule. Pour être franche, j’étais la cible des moqueries au collège et au lycée. Je rentrais chez moi avec des contusions que je peinais à dissimuler à mes parents, qui n’étaient pas au courant de la cruauté que je subissais.

Mon enfance n’était pas des plus glorieuses, mais aujourd’hui, je me sens beaucoup mieux. J’ai trouvé la personne qui me correspondait malgré mes nombreux défauts, et cela me fait un bien immense, vous ne pouvez pas l’imaginer. Savoir qu’on peut compter sur quelqu’un et lui faire entièrement confiance m’a libérée d’un poids que je portais sur mes épaules depuis des années. Et, sans savoir, comment je me suis retrouvée sous le charme de Brandon. C’est un sentiment indescriptible.

Pendant que je lui prodiguais la fellation la plus extraordinaire de sa vie, Brandon caressa mes seins à travers mon soutien-gorge. Je savais que ce dernier ne resterait pas longtemps en place. Il titilla mes tétons, les rendant durs à son contact, et les malaxa avec une douceur infime. Son autre main saisit mon autre sein et le manipula doucement. Une décharge électrique parcourut ma colonne vertébrale et se dirigea vers mon clitoris déjà gonflé. Un gémissement s’échappa de ma bouche, tandis que je continuais à lécher son sexe qui durcissait de minute en minute.

—        C’est tellement bon, ce que tu me fais, Vic, grogna-t-il.

Je souris et plongeai mon regard dans le sien. Cette scène était incroyablement érotique, et j’en étais ravie. Je léchai la veine apparente de son sexe, manifestement la partie la plus sensible, tout en mastiquant ses couilles.

Au bout de quelques secondes, Brandon s’exclama :

—        Je vais exploser, Vic !

Une seconde plus tard, plusieurs filets blanchâtres éclatèrent dans ma bouche, me faisant presque étouffer. J’avalai jusqu’à la dernière goutte avant de me relever.

Brandon semblait épuisé de plaisir, transpirant abondamment et reprenant son souffle. Je le laissai quelques minutes pour qu’il récupère de cette expérience.

Je me levai et allai boire un peu d’eau au robinet. Une fois mon besoin étanché, je relevai la tête vers lui.

—        Ça t’a plu ? Demandai-je.

—        Oui, beaucoup ! Et j’ai encore de l’énergie pour faire autre chose, si tu vois ce que je veux dire.

—        Je vois très bien, oui ! Mais je te laisse te reposer. Tu as l’air fatigué après ce que je t’ai fait.

—        Je suis encore jeune et prêt pour n’importe quelle situation, alors viens ici, je t’en prie.

Je me dirigeai vers lui, et il m’allongea par terre, écartant mes jambes. Il huma mon odeur féminine avant de poser sa langue sur ma lèvre supérieure, puis le long de ma fente. Je posai mes mains dans ses cheveux longs, essayant de créer mon propre rythme, mais il était trop puissant et rapide. Je n’ai pas tardé à jouir.

Brandon se dirigea vers son pantalon éparpillé à travers la pièce, l'attrapa avec une rapidité calculée et fouilla dans la poche arrière de son pantalon pour en sortir un préservatif. Ce geste, à la fois naturel et méticuleux, témoignait de son habitude et de son souci du détail.

—        Dis donc, tu as toujours des préservatifs dans tes poches ? Demandai-je en souriant. Je dois m’inquiéter ?

—        Non, pas du tout ! Répondit-il avec un sourire en coin. Je préfère être toujours prêt, pour nous deux. Je veux que chaque moment soit parfait, sans souci.

Il revint vers moi en enfilant le préservatif avec une aisance presque experte. Ses mouvements étaient fluides, comme s'il avait répété cette action des centaines de fois. Il se plaça entre mes jambes, le regard concentré sur la tâche qu'il s'apprêtait à accomplir. Posant délicatement son gland contre mon entrée vaginale déjà largement humidifiée, il fit glisser le bout à l'intérieur de moi. La sensation de manque, brûlante et frustrante, fut immédiatement comblée par le doux, mais puissant, plaisir que me procura sa pénétration. Une légère douleur initiale se transforma rapidement en une vague de plaisir intense, balayant tout sur son passage.

Brandon continua à avancer en moi, inchangé, jusqu'à ce que ses couilles touchent mes fesses. Il demeura immobile pendant un moment, me laissant le temps de m’habituer à la sensation de son imposant sexe en moi. Cette pause, bien que brève, me donna l'occasion de savourer chaque nuance de la plénitude qu'il offrait. Au bout de deux minutes, il commença lentement à faire des mouvements de hanche, d'abord mesurés, puis de plus en plus insistants.

Les gémissements d’extase s’échappaient de ma bouche alors que je m'agrippais à ses bras, cherchant à me rapprocher encore plus de lui. Chaque mouvement était un mélange de puissance et de douceur, et je me perdais dans le plaisir qu'il m’offrait. Brandon, lui, me prenait avec une intensité sauvage, ses mains se perdant sur mes seins, les caressant et les malaxant avec une passion maîtrisée. Ses lèvres se posèrent sur mes tétons, les léchant avec une minutie qui accentuait encore plus l'extase que je ressentais.

Je me cramponnais à son dos, mes griffes plongeant dans sa peau pour maintenir notre proximité. Nos baisers, fervents et ardents, se mêlaient à nos caresses, formant une fusion d’émotions brutes et de sensualité pure. Ce n’était pas seulement une rencontre érotique, mais un véritable échange d'amour, une preuve tangible de l'affection profonde que Brandon me portait.

Il continua ses va-et-vient avec une douceur calculée, avant de s’abandonner complètement, expliquant en moi dans une explosion finale de plaisir. Je sentis ses filets de sperme se déverser dans mon vagin, leur chaleur se répandant, et je les sentis couler le long de mon pubis. Cette sensation, à la fois intime et intense, m'enveloppa dans une étreinte de satisfaction ultime.

Brandon se retira lentement, et un flot de sperme s’échappa de moi, se répandant sur le sol avec une évidence brute. Nos corps, encore tremblants de plaisir, se relevèrent, et nous nous habillâmes avec une douceur presque cérémonieuse, prenant soin de retrouver notre calme.

Nous nous dirigeâmes ensuite vers le hall, où nous sortîmes de l'entreprise en riant à pleine gorge.

Notre escapade se transforma en une évasion joyeuse, une célébration de notre complicité retrouvée, et nous nous abandonnâmes à la légèreté du moment, profitant pleinement de cette joie insouciante.

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