Tertre, jeudi 27 septembre 2018 à 08:08, dans la salle à manger

Cher Gary,

La première semaine se termine. C’est déjà la cinquième lettre que je t’écris. Et je sais que (pour le moment) tout cela peut sembler confus pour le lecteur, même si, pour toi, tout cela aurait sonné comme une évidence. 

Le lecteur, lui, se pose peut-être beaucoup de questions. Les questions que je me suis également posées quand j’ai découvert tes lettres.

Il se demande sûrement comment ces lettres un peu décousues pourront bien l’aider à créer des copies qui vendent.

J’aimerais qu’il soit un peu patient :

Toute chose vient à point à qui sait attendre. Mais surtout, en toute chose, on peut devenir meilleur, si et seulement si on s’entraîne ! 

Cela me rappelle les débuts de mon fils au basket. 

Lors de ses premiers cours, impossible pour lui de mettre un seul panier. Il n’avait pas le bon geste, pas la bonne technique et pas la bonne détente. 

Mais, de semaine en semaine, à force de s’entraîner (et de rater), il est devenu meilleur et tout fier de lui, quand à la fin du xième entraînement, il est venu vers moi en courant : 

« J’ai mis 6 paniers aujourd’hui, papa ! »

C’est quoi le rapport avec la lettre du jour ? 

Qu’en matière de copywriting, c’est pareil :

Lire et étudier des choses, c’est bien, mais si on ne pratique pas régulièrement, on ne devient jamais bon. 

Alors pour la dernière lettre de la semaine, je propose tout simplement un DST (devoir sur table) au lecteur.

L’idée est simple : je vais résumer tout ce que l’on a vu ensemble durant cette première semaine, et je vais lui demander de produire un exercice qui va lui permettre de mettre tout ça en pratique. 

Bien sûr, je ne serai pas à ses côtés quand il lira cette lettre. Du coup, c’est en son âme et conscience qu’il décidera de le faire ou de passer à autre chose.

C’est son choix. 

Qu’il sache simplement que s’il choisit systématiquement de ne pas passer à l’action, rien ne pourra bouger pour lui. 

Et jamais il ne p