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Je n'aime pas faire souffrir les gens mais...
Tertre, dimanche 30 septembre 2018 à 08:53, confortablement assis dans le salon
Gary,
Cette nuit, j’ai brutalement été réveillé à 2 h 14. Plus possible de dormir. Pas à cause d’un rêve ou de trucs qui m’embrouillent tellement l’esprit que je n’arrive pas à les chasser…
Non… Simplement à cause d’une douleur lancinante dans la mâchoire.
Le genre de douleur qui te prend sans que tu t’y attendes et qui ne te quitte pas facilement.
Et surtout, le genre de douleur qui t’empêche de passer à autre chose.
Cette nuit, j’ai eu de la chance, car, petit à petit, la douleur s’est atténuée, et j’ai pu me rendormir paisiblement.
Mais il y a quelques années, cette douleur fut tellement violente que j’avais l’impression que quelqu’un s’amusait à mettre les os de ma mâchoire dans un étau, et à serrer et serrer encore jusqu’à les faire craquer.
Ce jour-là, Gary, j’aurais donné n’importe quoi à n’importe qui pour la faire disparaître, cette douleur.
Je m’en souviens comme si c’était hier.
Loi de Murphy oblige, c’est arrivé un dimanche. Pas d’autres choix que de trouver le dentiste de garde, et de me taper une sacrée petite route pour m’y rendre sur le champ.
Je déteste ça, mais crois-moi que ce jour-là, ce dentiste inconnu est devenu mon nouveau meilleur ami.
Il m’a expliqué d’où venait la douleur et ce qu’il allait devoir faire. Je savais que j’allais déguster (et effectivement, j’ai dégusté sévère…), mais peu importe, car tout ce que je voulais ce dimanche-là, c’était de ne plus SOUFFRIR.
Je voulais que c
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                                                COPYWRITING : LETTRES OUVERTES À GARY HALBERT | Tout ce que je n’aurais jamais imaginé apprendre sur l’art de vendre avec des mots
                                            
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                                                Olivier Ranocha
                                            
                                        
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