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Pourquoi Panodyssey ?
Les médias vont mal mais le marché va bien.
Les médias ont perdu 70% de la valeur du marché mondial depuis deux décennies, pourtant le marché de la publicité est en croissance.
Le transfert de valeur est au profit des GAFA.
Les utilisateurs lisent, écoutent, regardent et interagissent plus que jamais sur leurs appareils connectés fixes et mobiles. La consommation de contenus explose dopée par l’usage nomade tous marchés confondus, les usages connectés domestiques et embarqués dans les voitures se multiplient. Pourtant, la part de marché des médias chute. Ce paradoxe est une opportunité dans un contexte en fin de cycle.
Les GAFA opèrent la distribution de contenus, ils inventent les technologies, ils collectent les données et captent 70 % de la valeur du marché.
Les médias supportent les coûts de production des contenus, leur principale dépense. Les investissements liés à l’expérience utilisateur sont résiduels. Ils ne contrôlent pas les nouveaux circuits de distribution devenus globaux. Ils sont dépendants des circuits courts de distribution numérique tous médias confondus : presse, TV, radio. Les distributeurs utilisent les contenus comme produit d’appel lorsqu’ils en sont propriétaires.
Les médias se sont épuisés à gérer la transition des usages entre support physique et expérience digitale. Ils se sont laissé enfermer dans un modèle économique où les règles fixées par les GAFA compressent leurs marges jusqu’à les faire devenir des esclaves publics.
La course à la consolidation des audiences n’arrange rien, c’est un piège. Celle-ci reste peu créatrice de valeur dès lors que les règles du théorème ne changent pas.
Le rapport de force entre producteurs et distributeurs de contenus est en faveur des GAFA. Ils contrôlent l’accès et ils créent les nouveaux usages. Leur position dominante leur permet d’offrir la bande passante aux utilisateurs dans des zones émergentes (Facebook offre la data en Afrique avec son service « Free basics ») et ils se réservent le point d’entrée. Ce faisant, ils construisent une barrière à l’entrée pour consolider leur position dominante.
Les algorithmes de Facebook et Google encouragent l’addiction, le zapping, le sensationnel et le flux de notifications adressées. Le temps de cerveau pris aux utilisateurs est de plus en plus important et de moins en moins supportable.
Nos cerveaux se fatiguent. Le gâchis est immense. Les alertes sur les dérives du système et de la pollution qu’il génère se multiplient.
Sean Parker, ancien président de Facebook et Roger McNamee, investisseur de Google et de Facebook, tirent la sonnette d'alarme. Ecoutons-les !
Nous avons décidé de résoudre les problèmes sous-jacents à ce changement de paradigme : perte de crédibilité des médias, paupérisation de la chaîne de valeur, rejet de la publicité, abus de l’usage des données et manque de transparence. Les applications Pure Player sont souvent obsolètes, l’éparpillement des sources d’informations essouffle des utilisateurs en manque de temps.
Notre solution : une plateforme de co-création, distribution et monétisation de contenus pour lire, écouter, regarder et interagir.
Les actifs contenus existent. Internet ne manque pas de talents. Nous fédérons des créateurs et des influenceurs au sein de notre application pour les mettre en relation avec un public qui partage des passions et des valeurs communes.
Nous avons une vision technologique audacieuse et innovante pour ré-enchanter l’usage et poser les bases d’un écosystème créateur de valeur et de confiance.
Notre assemblage technologique permet l’identification, la collecte et l’organisation des apports créatifs passionnés de notre communauté. Nous valorisons ces actifs au sein d’une expérience utilisateur originale et respectueuse. La passion est le moteur de notre offre : diversité et richesse créative.
Nous investissons sur le produit et la marque.
Nous introduisons un concept responsable dans l’utilisation des données pour limiter la pollution numérique et favoriser le confort de nos utilisateurs.
L’ambition de notre projet est mondiale, notre marque s’appelle : Panodyssey !