

Des Vinyles aux Pixels : L'Érosion du Contact
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Des Vinyles aux Pixels : L'Érosion du Contact
La musique, c'est peut-être la métaphore la plus crue de tout ce putain de désastre. Tu te souviens des vinyles ? La pochette, le poids du disque dans les mains, l'odeur du carton et de la poussière. Il fallait le sortir délicatement, le poser sur le plateau, baisser le bras et la pointe. Le crépitement avant le son, c'était comme un prélude sacré. Chaque album était un voyage, une œuvre complète. Tu l'écoutais d'un bout à l'autre, des deux côtés. Tu connaissais l'ordre des chansons, les silences entre elles, les interludes. Une expérience tactile, auditive, presque spirituelle. Et si tu voulais partager un morceau avec quelqu'un, il fallait l'inviter chez toi. La musique était une excuse pour le contact réel, un prétexte pour se retrouver, boire un verre, fumer une


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