Une brisure d'homme, ...
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Une brisure d'homme, ...
An 2000, Atlantique Nord de traversé, la mer fût docile dans l'ensemble. Une mauvaise fenêtre météorologique choisie, comment pourquoi, aujourd'hui encore je ne le sais ? Mon, toi fixe, toi, et ton horizon, te voir, te savoir libre comme le vent, destination lrs Antilles, île, village de Marigot,, garé le voilier de quinze mètres et ôter le point final au point d'interrogation me laissant filer dans le morbide Horizon de la séparation de nos corps et âme. Le départ des sables d'olonne au ponton, ce doit être l'hiver, l'équipage sort du port, et j'ai un livre des étoiles, car sans nos saveurs emmêlées. Perdu ma joie de vivre , pensées et sourires d'enfant.
Avant de te connaitre, pas l'Océan, jamais compris une demoiselle, et je suis paumé sans ailes. Vivante, et accompagné mon miroir d'âme à pris la fuite, sans une esclandre...
La sommes des pourquoi devient une addition, cependant j'ai une bourse, celle de mon travail de moniteur de voile.
Golfe de Gascogne les deux diplômés Marine marchande morflent, la vie de l'aigue-Marine ne tient qu'à un fil, delors le vent fouette le visage, mon estomac malade ne retient rien, je déchante la mer hachée heurte mon foie, vomissements de soupe saveur, tomate. La bile ne sort plus... j'ai mal.
Le capitaine me sort de l'univers de l'agonie et je file sous foc, en fuite vers, l'Espagne. Je l'ignore, le vent tempête, il est salvateur, mes yeux sont brillants de fièvre et de desirs de revoir, l'être suprême cette personne qui a survécu à mes silences, Porto, cave et banc, surpris de leur comportement, ensemble miss, mystère, tu ne maudis pas mes non dits...
À suivre