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D'UN MONDE SANS ÂME À UN MONDE RELIGIEUX

D'UN MONDE SANS ÂME À UN MONDE RELIGIEUX

Publié le 27 oct. 2024 Mis à jour le 2 nov. 2024 Politique
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D'UN MONDE SANS ÂME À UN MONDE RELIGIEUX

Il existe, de par le monde, un certain nombre de chemins.

Chacun peut suivre le sien, mais ne peut pas forcément le choisir.

Il faut une dose d’inconscience et, même, de témérité pour imposer à sa vie sociale, le changement radical de fuite des convenances, des habitudes, des relations et espoirs familiaux.

Notre monde est découvert intellectuellement et, pour beaucoup, ne mérite pas de s’y confronter.

Nous avons tout sur Internet, n’est-ce pas ?

C’est un outil fabuleux, un serviteur zélé, pour ceux qui cherchent. Et pour ceux qui en font le revenu.

Il devient le monde pour les dépendants, pour les asservis.

Il est particulièrement addictif, sur les réseaux sociaux de base, d’y participer, de ressentir le plaisir d’avoir des amis nombreux et émetteurs de « like ».

Nous y sommes tous sensibles. Mais conservons, pour certains, l'humilité nécessaire.

Malgré le goût, ou la nécessité, pour satisfaire cette passion d'écrire, de l'exposition personnelle ressenti par les auteurs, par notre ambition de changer le monde, notre quasi-prétention d'être importants.

Le monde que nous subissons dans nos pays occidentaux est poussé à son extrême individualisme, à force de « défendre » les fameuses libertés individuelles.

J'ai droit à ... Je défends mon droit de ...

Quid du droit des autres ? 

J’ai droit à un enfant ! Quid du droit de l’enfant ?

Et tout est "permis" pour faire la promotion de ces exigences.

Deux exemples dramatiques de cette dérive, concerne les êtres les plus innocents, à savoir les enfants. 
Comment peut-on, au nom de ces « droits » autoriser qu’une femme génétique puisse procréer tout en prenant les hormones masculines de changement de sexe? Vous imaginez les conséquences sur le fœtus ?

Et nos organismes administratifs et assimilés comme le planning familial, d'oser en faire la promotion (Cf les panneaux d’affichage de la femme-homme barbu(e) enceint(e))…

Comment peut-on considérer qu'une jeune fille, qui a moins de 15 ans, ne peut avoir le discernement pour un acte sexuel avec un majeur (Qualifié de viol automatiquement) et considérer qu'elle dispose du discernement, dès le primaire, pour changer définitivement de sexe ?

Les parents voulaient un garçon ou quoi ?

Cet individualisme outrancier n’est, finalement, qu’une solitude au sein d’une multitude, interdisant, dans les faits, la force nécessaire pour s’opposer à une dictature douce, à une caste hypocrite, dont le succès impose la division.

Pouvoir acheter les quelques voix de basculement nécessaires pour continuer à percevoir ses prébendes.

La superbe mondialisation heureuse, mène à la destruction des nations, dont la notion, si elle est relativement récente, est la suite logique du lien historique et pérenne d’un Peuple, qu’exprimait les anciens monarques.

Mais cette destruction des défenses, des remparts salvateurs, des citoyens a largement commencé pour des raisons économiques.

Les politiques et les administrations, dont l’imagination est, dorénavant, limitée au seul calcul de leurs gains, ont simplement tiré les bénéfices des avantages économiques des produits unitaires, créés car beaucoup plus rentables pour les entreprises mondiales.

Comme le poids financier de ces monstres économiques écrasait les petits, ils sont devenus nos seuls interlocuteurs, sinon nos maîtres !

Il est évident que séparer les membres du groupe quel qu’il soit, était la solution la plus rentable pour les entreprises mondiales et satisfactoire pour le pouvoir politique et administratif.

Dissoudre les « tribus », les groupes sociaux, faire exploser la famille sous le prétexte fallacieux du carcan, faisait oublier qu’il s’agit, dans la réalité, du seul rempart, du dernier havre, de la plus solide protection de l’individu[1].

Nous pouvons tous constater que, aujourd’hui, nombre d’habitants du monde reforment leur tribu, s’appuient sur les préceptes d’une religion, se fanatisent dans des croyances, multiplient les amis Internet ou se dissolvent dans les paradis artificiels.

Cependant, cette tendance reste, très souvent, à but individuel. Un besoin égoïste d’exister et non plus de participer à la progression d’un objectif, d’un bien commun.

Le gouvernement de la Nation, le Monarque pour ses terres, savaient utiliser cette foi dans le but commun, dans la communauté de ses membres, pour mener les actions violentes que tous les pays ont connues.

Mais il leur fallait convaincre positivement. Tout en utilisant, ne soyons pas naïfs, les modes de propagande divers et variés, en fonction des époques.

Ils avaient une vision, bonne ou mauvaise, juste ou abusive, mais une vision.

Nos petits actuels, esclaves croyant diriger, ne sont que des marionnettes manipulées par leurs appétits parasitaires et les corrupteurs financiers.

Aujourd’hui, j’ai le sentiment que cette volonté commune, tant désirée, doit être fondée presque exclusivement sur un rejet, pour avoir une chance de prospérer.

Et si une vision, des effets positifs en découlent, les « gouvernants » et autres structures, usent de tous les moyens pour les réduire à néant.

Souvenez-vous des tous premiers jours du mouvement des « gilets jaunes » et de la diversité[2], dans un but commun de changer, en bien, le monde.

Quelques jours seulement, avant que des syndicats tentent d’en tirer profit, que les FDO soient envoyées pour provoquer, et que le pouvoir laisse, sinon favorise, les bandes barbares.

L’Histoire nous enseigne, par les exemples de mouvements populaires, que seuls ceux soutenus par les futurs bénéficiaires, disposant des moyens nécessaires, ont une chance d’aboutir.

Au profit des marionnettistes.

Nos politiques, nos administrations, ont mis en place, depuis des décennies, les moyens de diviser pour régner, pour parasiter, le plus possible et le plus vite possible, sachant qu’il est probable qu’un jour, ils ne pourront plus profiter de leur fonction. Au profit rémunéré par quelques lobbyistes.

La permanence nous manque.

Cette absence de permanence n’est que la conséquence logique, essentielle, de la perte de volonté commune, de la perte de transmission tant des biens que des traditions et, donc, du développement de l’individualisme forcené du profit.

Les êtres d’exception, encore capables de soulever une ambition, ne peuvent plus exister sans s’opposer, ne peuvent transmettre leur discours, leur âme, leur rêve, qu’en petit comité.

Soulever une foule impose une catastrophe préalable, une crainte majeure, un risque existentiel.

C’est la théorie de l’Homme providentiel, qui ne peut apparaitre que lors de circonstances exceptionnelles.

Quels sont, d’après vous, les cas qui survivent encore, dans nos sociétés, pour donner lieu à des circonstances exceptionnelles ?  

Que les individus pensent encore à ce qui était mieux avant, se trouvent dépourvus de tout moyen de faire entendre un discours de recréation du socle commun d’une société généreuse.

En outre, ce sont les derniers dinosaures d’un monde disparu, d’une civilisation arrivée à son terme.

Il s’agit des derniers à les avoir connus. Ils disparaitront sans laisser de trace, à la différence des dinosaures, pour les générations suivantes, obnubilées qu’elles sont, par le nombre de followers et le discours intéressé des influenceurs et autres sportifs.

Il adviendra que nous finirons par avoir bientôt un monde religieux, fanatique et satisfaisant pour ceux qui n’ont rien d’autre, qui ne pourront avoir autre chose.

L’isolement devient le chemin à suivre, mais reste un abandon de tout ce qui fait société.

 

[1] Le CESE dont l’activité est si intense, a rendu, en 2023, son rapport (je crois le seul) sur les discriminations. La conclusion de cette stupidité de fonctionnaire, nuisible, parasite et lamentable, est que la famille est le principal obstacle car elle reproduit les schémas de genre…

[2] La multiplicité des origines, des statuts et situations sociales était passionnante. Mais bien vite, l’administration, l’ennemi réel du pays, avec ses membres élus ou non, a pris la mesure du danger d’un Peuple et a lancé ses propagandistes de la presse subventionnées, les petits merdeux de black blocks et les chefs de gendarmerie qui faisaient tout ce qu’ils pouvaient pour pourrir la vie des automobilistes en fermant, par exemple, un des accès pendant plus d’une heure A cela, les alliés du grand suffisant, LFI entre autres, ont noyauté le mouvement pour le rendre inquiétant. C’est l’un des rares cas où le pouvoir est efficace.

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Commentaires (3)

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Jackie H il y a 26 jours

Ouf - il y en a des choses à dire à propos des idées soulevees par cette publication, et pour être franche, je ne sais plus très bien par où commencer ! 😊

Je vais tenter une première réponse, probablement un peu confuse elle aussi, dans une autre publi dont je vous communiquerai le lien dès qu'elle sera prête 🙂

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Cedric Simon il y a 26 jours

Je vous soumets une réponse sur votre autre page.
Nous aboutissons au même constat final, en regardant des horizons différents.
Bonne journée

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