

Les jardins de Nineveh
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Les jardins de Nineveh
Les jardins de Nineveh
En ces affres années d’où les vêpres attendaient
Le cœur remuant des buissons des jardins
Dont le silence des eaux mesuraient le guet
Aux palais d’un velours tapissé de carmin
La mire au loin des kurdes monts
D’où la pierre sortit sertie de rouge
Aux murs lésant des âges le poison
Pleuraient les murmures des souches
Et le corps prélassé des mouches
Au seuil de fontaines abreuvées
Par le Tigre aux rives et rivières sablées.
J’ai du prophète Yunus senti l’appel
Aux cœurs templés de citadelles
Que grimpent les corps taillés de pierre
Et l’âme comme un cœur de lierre
Aux berges des verts akhrâsh ruissèlent
Des torrents de mélèze et de frêne
Qu’à loisir grimpe la bouche en murmure
D’un goût de cerise affolée sur le mur
Que le sang n’ont pu


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