Horloge alexandrine (poème)
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Horloge alexandrine (poème)
Que le temps passe vite ! Pourtant, c'est relatif.
Sa course incessante est, en fonction du moment,
Ressentie autrement, vécue différemment.
En vue d'un rendez-vous, devient impératif.
L'horloge nous prévient, par ses doux cliquetis,
Que le temps n'attend pas, passe inlassablement.
Parfois comme figé, notre cœur tremblotant.
Le temps rend, par lenteur, toute attente infinie.
Il peut nous reposer, aider à méditer,
À relâcher les nerfs, à enfin s'endormir,
Aide à se concentrer, autorise à sortir
Avec, pour condition, de rentrer au temps "T".
Allié d'organisé, ennemi du contraire,
Il flotte dans son monde, influençant le nôtre,
Course perpétuelle et sans prétention autre,
Annonce les secondes, les minutes et les heures.
Alban Vivicorsi, le 17/02/2022
Poème de mon invention et image obtenue par intelligence artificielle sur Nightcafé Studio puis modifiée par mes soins, tous droits réservés, Alban Vivicorsi