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La lune tient ses promesses... image libre de droits...

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Publié le 4 janv. 2025 Mis à jour le 4 janv. 2025 Poésie et chanson
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La lune tient ses promesses... image libre de droits...


La lune possède ses étoiles, des satellites sautillent autour de sa robe climatique et éclaire son ciel noir mystère. J'aimerais y jouer au golf, en ta compagnie, sauter de dune en dune sous la lumière bleue de la Terre. Ta robe serait un miroir, les lacs seraient de l'acide, nous y installerions des serviettes pour nous baigner au champagne. Les pierres volcaniques seraient la métaphore de notre extase lunatique et les bulles voleraient de verre en verre, sans se casser. Notre couple serait si fort que la mort aurait peur de lever son voile sur notre histoire, et nos enfants se baigneraient nus, sous des averses de météores.

Deux, le chiffre magique qui écarte la solitude en apportant un nombre infini de sourires. Accepte ce voyage, hors du temps !


Le monde n'est ni d'or, ni d'argent. Il est de sable, de granite, de roches qui masquent nos effusions de ses regards troublants, ses fantômes du quotidien. L'atome est une cellule que je garde précieusement, j'aimerais être ce galet que tu caresses de tes yeux doux, mais pour l'instant tu caches tes sentiments, tu navigues sous des tempêtes solaires pendant que je coule comme une pierre. Message, d'une mésange au charme discret qui compte le temps de ton absence et me montre ses ailes aux couleurs de la mer, sans transparence. Ses plumes sont aussi douces que mes souvenirs. J'aimerais t'offrir une planète, un monde sans guerre, ni violence... juste à peine quelques turbulences, pour naviguer, et tout le reste serait à construire selon le fruit de nos imaginations




Il était une fois une planète mère de plein de mystères, ses formes rondes séduisantes, un dieu dit Soleil, un bleu nuit mer, des arbres qui donnaient de la verdure, des violettes dans le ciel, des feuilles caduques, une beauté irréelle née du temps, tant sa force venait des deux éléments essentiels à la vie, celle de l’alliance de turquoise framboise, et du vert ainsi que la présence de l’Iroise, guimauve Océan, transparence. En levant les yeux, on pouvait lire la trajectoire au-dessus en orbite des cailloux, les étoiles et la beauté filante de ces astres lumineux, bref elle se nommait la Terre. Chez-vous oui, suis-je un narrateur fou, euh, à vous de me le dire !

Restons sérieux et action, le loup courait depuis maintenant une demi-heure, derrière lui des chasseurs, un troupeau, qui tiraient à vue, mais ce chien allait vite et sauta pour ne pas finir en tapis de sol à l’eau, un saut gigantesque de huit mètres, soit un démon, soit un dieu du stade, il avait franchi le passage de la peur pour l’audace de se baigner pour la première fois, ce qui fit une suite de zip, dans les airs, ses poils qui se dressaient, et un gros Patapouf, ouf sauvé, mais pour combien de temps ?

L’eau est froide, bouuuuh fit-il, des bulles pas comiques sortirent de sa gueule ouverte qu’il referma aussitôt, le loup était le dernier né, il ne savait pas que les braconniers le voulaient pour un célèbre collectionneur de peau, un trésor, car il aurait fini sa collection des espèces disparues sur la boule bleue, notre sol, la Terre. Les indiens disaient que nous adultes ne sommes que les locataires de ce lieu et les enfants les garants de sa vie, en ce jour de disgrâce, ce loup par ce terrible saut dans l’air, sa chute sous l’eau allait vivre une aventure hors du commun, mais chut, j’en dis trop. Donc, le dernier loup sauvage venait de découvrir la baie de Douarnenez et…


Et un univers totalement inconnu, ne pas ouvrir ma bouche se disait-il, ce milieu

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