Le rêve en société - réflexion
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Le rêve en société - réflexion
Tout commence par des rêves. L'enfance est marquée par l'imaginaire tandis que l'adulte ne sait plus. L'adulte a trop vu, trop entendu, trop vécu. Le rêve n'est plus possible tant l'horreur a pris place. Quand un nouveau système de croyance doit être donné parce que l'ancien ne fonctionneplus, ne rassasie plus. L'actualité est trop poignante, la dureté de la vie disons-nous. Les désastres écologiques, les inégalités sociales, les "problèmes sociaux" disent vulgairement les journalistes (pas tous, ne mettons pas tous les oeufs dans le même panier). Alors que les écoles rêvent d'un monde nouveau ou renouvelé, les désastreux égoïstes se contentent de profiter - de toute façon la fin est proche. La fin ne le sera que si nous ne bougeons pas. Faut-il rêver pour se mobiliser, changer la face des choses ? Faut-il tomber dans le cauchemar pour mieux se réveiller ? Ce que font encore les militants. Finalement, les plus gros rêveurs sont peut-être encore ceux qui manifestent, et non des êtres hors de la réalité, sans conscience des évènements. Il y a toujours une place pour le rêve, la seulechose est de savoir si vous seriez capable de lui en donner dans votre réalité [sans culpabilisation]. Le rêve ne représente pas l'absence de vérité ou de réalité, le rêve est aussi porté sur le futur, un message du subconscient. Deux catégories de personnes se distinguent ; ceux qui l'acceptent et ceux qui le rejettent. Il serait plus correct de se demander si nos aspiration ne seraient pas des rêves ?