

Sexit, ou le non désir au féminin!
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Sexit, ou le non désir au féminin!
C’est un post à haut degré de nécessité !
Parce qu’il touche à un phénomène silencieux.
Parce qu’il parle de désir.
Et de toutes celles qui croient l’avoir perdu.
En France, on estime qu’une femme sur trois n’a plus d’élan sexuel durablement.
Pas momentanément.
Pas parce qu’elle est trop fatiguée cette semaine.
Durablement.
Et la majorité d’entre elles ne s’en vantent pas.
Elles se taisent, se sentent fautives, se retirent du lien sans faire de bruit.
Certaines rompent.
Certaines s’adaptent.
D’autres disparaissent à l’intérieur.
Ce phénomène a un nom : le Sexit.
Non pas une provocation, ni une fuite lâche.
Mais une forme de survie relationnelle :
quand le lien ne nourrit plus mais absorbe,
quand le corps ne reçoit plus mais s’oblige,
quand la sexualité devient un lieu sans âme,
un terrain trop souvent traversé,
mais jamais habité.
Souvent après des années d’amour courageux,
de dévouement sincère,
ou de rapports conjugaux vidés de sens.
Vous n’avez pas perdu votre désir. Il est là. Mais peut-être pas là où vous regardez.
Le désir n’est pas une faveur.
Ce n’est pas un feu d’artifice réservé aux autres, aux jeunes, aux inspirées, aux amoureuses comblées.
Ce n’est pas un capital que l’on épuise avec le temps.
C’est une vibration.
Une vitalité intérieure.
Un oui du corps, bien plus qu’un besoin ou une envie.
Alors pourquoi ne le sentez-vous plus ?
Pourquoi ce retrait, ce vide, ce silence dans l’intime ?
Ce n’est ni votre faute.
Ni le résultat d’un manque de volonté ou d’amour.
Ni une défaillance à réparer.
C’est peut-être simplement qu’un filtre s’est glissé entre vous et vous-même.
Quelque chose — fatigue, injonction, mémoire, loyauté, peur — a mis à distance votre corps.
Et ce corps, c’est là que le désir vous attend.
Pas ailleurs.
Revenir au désir, ce n’est pas raviver un feu.
C’est réapprendre à écouter la braise.
C’est ne pas forcer l’élan, mais lui laisser la place d’apparaître.
C’est ne pas chercher l’intensité, mais le contact.
C’est ne pas vouloir être désirable, mais se laisser être vivante.
Il y a une seule condition.
Petite, mais puissante.
Avoir le désir de désirer.
Avoir l’audace de se poser cette question-là, sans peur du vide qu’elle révèle.
Et si ce n’était pas une absence,
mais un seuil ?
Et si votre désir n’avait pas disparu,
mais simplement changé de lieu ?
Chez Cœur à Corps, nous vous proposons des expériences douces, profondes et incarnées
pour revenir vers ce lieu intime.
Vers ce corps qui sait,
vers ce souffle qui attend,
vers cette part de vous qui n’a jamais cessé d’aimer.
Une séance d’Hypnosens, pour faire un premier pas… ou un pas nouveau.
Un espace simple, guidé, où le désir ne se réveille pas —
il se laisse entendre.


Bernard Ducosson il y a 3 heures
Du rable, peut-être ; mais des reins, c'est pas dit !