Et si on s’offrait un livre à l’aveugle ?
Et si on s’offrait un livre à l’aveugle ?
Choisir un roman sans connaître ni son titre, ni son auteur, ni même sa couverture ? C’est le pari audacieux d’Enora Ezéquel, 27 ans, fondatrice du Livre à l’Aveugle, une micro-entreprise machecoulaise qui transforme la lecture en une expérience littéraire pleine de mystère.
« Pour moi, ceux qui détestent lire n’ont pas encore rencontré le bon livre. » Énora Ezéquel
« J’ai toujours eu le nez dans les bouquins », sourit Énora. Au CDI de l’école Saint-Joseph, à la bibliothèque de Machecoul, partout où il y avait des pages à tourner, elle s’y engouffrait. Ses parents, amateurs de brocantes, l’ont initiée très tôt au plaisir de chiner et de dénicher des trésors. Des habitudes qui, aujourd’hui, nourrissent son projet.
Après avoir travaillé comme traduct
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Philippe Meisburger il y a 1 mois
Avec les mots clés - comme précisé dans l'article - ça pourrait vraiment être intéressant, car ça permettrait de faire découvrir des auteurs inconnus... mais qui mériteraient davantage de lumière.
Oren Le Conteur il y a 1 mois
Oui, c’est exactement l’idée. Avec les mots-clés, on peut enfin sortir de l’ombre ceux qu’on ne voit jamais passer, qui bossent dans leur coin sans projecteurs. Ça donnerait un vrai coup de lampe torche dans la cave littéraire, et franchement, ça ferait pas de mal. On a besoin de découvrir d’autres voix que les habituels champions de vitrine.