

gnostic rasta
Sur Panodyssey, tu peux lire 10 publications par mois sans être connecté. Profite encore de 6 articles à découvrir ce mois-ci.
Pour ne pas être limité, connecte-toi ou créé un compte en cliquant ci-dessous, c’est gratuit !
Se connecter
gnostic rasta
Tu ne peux pas faire d’elles tes jouets
Car elles ne t’appartiennent pas.
Chacune est une lame d’énergie,
Une vague qui t’emportera loin de ta pensée
Tes humeurs et ta mentalité.
Tu peux tout éviter
Le pouvoir de léviter
Au dessus de l’abyme vil
Des egos inutiles
et des voies de ta ville
Evite les et tu gagnes
Tombe dedans et tu perds
C’est pas plus difficile que cela
Ce que tu as à faire.
Sans te préoccuper des autres
Les djinns ne t’aiment pas
Et les esprits encore moins.
Tu n’as que ta qabbale
Alors serre la très loin
Car rastas restent à la porte,
oui ce sont tes guides.
Mais il faut se battre
Sinon tu n’obtiens rien.
Et cela tu le sais bien.
Jeune glypheur n’oublies pas
Tes nobles inspirations
Celles qui t’ont mené jusque là
Au cœur de la gnose.
Le paradis n’existe pas plus que la valhalle
C’est à toi de construire ta place
Car où que tu sois elle sera tienne.
Peu importe le temps que cela prendra
L’univers sera ton rang.
Une parcelle de cosmos
pour tirer la voie lactée
Image du firmament,
souffle glacé des océans.
Vide et amertume t’emmènent prés du seuil
Sur le radeau des oubliés,
loin de la maison des camés
Sur le territoire des guerriers,
ce chemin indissoluble
Des guerriers de Weenjah.
Les anges de la paroles seront là ainsi que les ennemis de tes déesses.
Combat les de toute lumière
La force des éthers,
les esprits du savoir
en lames de connaissance.
Et tu ne connaitras le repos
Qu’une fois tes phobies évanouies
Dans les flammes de l’oubli.
N come nuit
R comme rose
A tel amour tel un aimant
B comme brulant d'un feu banal
De l’aisance évanouie.
A tel amour comme on oublie la mort
Pour une rose dans la nuit
Tu erreras dans un rêve brulant
Sensuel comme un songe.
Une spirale de l’aube fantasmée
Un rayon de soleil qui éclipse les étoiles
Et qui ne brille pas autant
que leur sourire.
Je bois l’eau d’une fleur humide fraîche comme une bonne bière.
Suspendu d’un air timide tu navigues à l’horizon
Avec la douceur de la raison,
fourni d’une étoffe
Ou drapé
dans un châle inépuisable,
véritable sagesse ou simple démence,
Les perles adorables de l’éclipse naissante.
Eclairées par la lune,
je comprends ce que je les 'aime,
La gnose,
la connaissance.
Le savoir,
et la substance.

