Je vous remercie encore d’avoir imposé à ma curiosité de lire ce texte. J’en ai profité pour revoir d’autres textes de cet auteur.
Une lecture d’autant plus ardue qu’elle est fortement datée dans sa forme. Il vivait à une époque où les élites maitrisaient le latin et le grec !
J’avoue que mes connaissances en latin se sont perdues tout au long du chemin de la vie et le grec n’a jamais démarré…
Je finis par me demander si, il n’userait pas de ses propres techniques de proposer des citations incompréhensibles mais (ou donc) d’autorité…
Mais, en outre, cet auteur fait montre d’un orgueil démesuré, d’un élitisme forcené, sinon de l’application, sans controverse possible, de la validité de ses stratagèmes.
Ses « défenses » me semblent peu crédibles et avec peu d’effet sur un contradicteur de même niveau.
Ces moyens d’avoir raison sont devenus la marque de fabrique des extrémistes de tout poil, comme les trotskistes, à la mode 68, ou un parti actuel, bien connu pour sa tolérance.
Je reconnais, à ce parti, d’être formé à avoir toujours raison, mais dont le niveau impose, pour ce faire, l’utilisation de l’ultime stratagème, l’attaque personnelle.
Comme Schopenhauer le conseille ponctuellement, il convient, d'adapter les moyens, au niveau de son public, et d'employer les armes attractives contre un adversaire.
En faire un ennemi, que l’on peut menacer, insulter, sans risque, pour satisfaire les pulsions de son public, tout acquis.
Je dérive, je dérive… Alors que l’objet de mon message est de vous faire savoir à quel point vos recherches et textes ont l’utilité de la profondeur…

Merci beaucoup, cela fait plaisir d'avoir ce genre de retour !

Instructif.
Je vais tenter...