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Ainsi parla Zarathoustra, chanson

Ainsi parla Zarathoustra, chanson

Publié le 17 déc. 2024 Mis à jour le 17 déc. 2024 Culture
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Ainsi parla Zarathoustra, chanson


Paroles :


Récemment,


D’un esprit


Sans tourments


Ni musique


Est sorti


Tout d’un clic


Un étrange


Document,


Qui dérange


Mes serments :





« Mais pourquoi


Me dit-il,


On te voit


T’échiner,


Nous saouler,


C'est futile !


À écrire


Des poèmes


Que personne


Ne va lire ?





Tu devrais ,


Me fait-il


Très subtile,


Consacrer,


Je le sais,


Tes minutes


Et tes jours


Non d'une flûte !


A l'amour


Du travail


Et au goût


Sans pareil


De l'argent


Qui résout


Plein d'allant


Tes problèmes !





Les poèmes


Que tu fais,


Tu vois bien,


Sans délais,


Mal ou bien,


Ne te font,


Dans le fond,


Que passer


Trop de temps


Sans bosser


Tout le temps !"





la la la la la la


la la la la la la


la la la la la la


la la la la la la





Ainsi parla


Zarathoustra








la la la la la la


la la la la la la


la la la la la la


la la la la la la





Ainsi parla


Zarathoustra








Je ne sus


Que répondre


Au refus


D’écouter


De ce monde


Les beautés.





Moi l’oisif


Qui contemple


Sous les ifs


Tous les temples


Aurais dû


Sans rougir,


Comme un dû


Plein de myrrhe,


Lui répondre


Sans refrain


Que ce monde


Est un frein


Aux rêveurs !





Mais qu’une heure


Que l’on vole


À la nuit


Qui s’envole


Est un fruit


Délectable


Dans nos vies


Détestables !





la la la la la la


la la la la la la


la la la la la la


la la la la la la





Ainsi parla


Zarathoustra





J’aurais dû,


De mon doigt


Vers la nue,


Comme un roi


Désigner


Cette étoile,


Qui sans bruit


Chaque nuit


Sous son voile


Illumine


Les ruelles


Assassines


Des humains !


Pleins d’entrain !





Puis, poète,


Ajouter,


Pour la fête,


Que mes mots


En réseaux


Tout comme elle


Dans les airs


Réverbèrent


Leurs dentelles


Et qu’un cœur,


Rien qu’un cœur,


Juste un jour


Pour toujours


En lisant


Un seul chant


Y vaincra


Les frimas


Qui le glacent


Plein d’angoisses !


J'aurais dû !





la la la la la la


la la la la la la


la la la la la la


la la la la la la





Ainsi parla


Zarathoustra





Mais je dis


Simplement


Que je crie


Mes tourments


Quand j’écris


À minuit


Mon verlan !








Et surtout,


J'ajoutai


Sans dégoût,


Que je sais


Qu'il faut bien


Supporter


Les silences


Des gens bien


Qui s'élancent


Devant moi


Et mes vers


Car je vois


Leurs misères


Et je chante


Dans ma nuit


Qui les hante


Leur ennui !


Leur ennui !


Leur ennui !


Leur ennui !





la la la la la la


la la la la la la


la la la la la la


la la la la la la



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