

Chaque personne qu’on s’autorise à aimer est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. Les gens disent qu’en restant optimiste, on est plus heureux et en meilleur santé.
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Chaque personne qu’on s’autorise à aimer est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. Les gens disent qu’en restant optimiste, on est plus heureux et en meilleur santé.
Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. Lorsque l’on est confronté à la mort ou que l’on souffre d’une perte douloureuse, nous traversons tous, plus ou moins, cinq étapes de la peine : le déni, la colère, les négociations, la dépression, l’acceptation. On passe par le déni car la perte n’est pas envisageable, on ne peut imaginer que c’est réel. Puis on s’énerve contre tout le monde, contre les survivants, contre les chanceux, contre nous-même. Puis on trouve un arrangement, on supplie, on implore, on offre tout ce que l’on a, on offre nos propres âmes en échange d’un jour de plus. Un jour. Et quand les négociations échouent, la colère est difficile à contenir, on tombe dans le désespoir, jusqu’à ce que l’on accepte finalement qu’on a tout


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