

Avez-vous déjà essayé de tenir un journal ?
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Avez-vous déjà essayé de tenir un journal ?
Certain(e)s d'entre vous l'ont certainement déjà fait.
Qu'il s'agisse d'un journal intime, d'un journal d'écriture, d'un journal de fitness, d'un journal de régime, d'un journal d'allaitement, d'un journal lié à un projet quelconque, sport, randonnée, construction, artistique, vacances, méditation, évolution spirituelle, que sais-je - on peut écrire un journal sur toutes sortes de sujets et pour toutes sortes de raisons. Même les plus surprenantes et les plus inattendues. Peu importe, au fond, sur quoi et pour quoi vous l'avez fait.
Ma question est :
quand vous l'avez fait, avez-vous réussi à vous y tenir ?
Écriviez-vous bien bravement, bien gentiment et bien sagement vos entrées tous les jours, ou toutes les fois où vous faisiez quelque chose qui y avait un rapport ?
Ou bien


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Amelie Rollet 19 giorni fa
Ici j'ai un journal pour tout, afin d'y laisser une trace de mon passage, un journal de gratitude, un journal d'astuce, un journal de vie...
C'est un soulagement mental et émotionnel de poser des mots.
Barbara Wonder 1 mese fa
je suis dedans en ce moment, le pouvoir des mots juste incroyable , tout e que l’ont peut sortir. impressionnant. petite j’en avais un je l’ai relu , incapable de comprendre ce qui avais de marqué :)). mais j’avais oublié que cela pouvais être si bénéfique.
Basty 1 mese fa
Très bon.
Parfait le Ménélik en bonus.
Jackie H 1 mese fa
Merci Basty 🙏🏻
Marissa Brugallé 1 mese fa
En ce qui me concerne, tenir un journal a toujours relevé d'une discipline dont je n'étais pas suffisamment "bonne élève". J'ai surtout écrit ainsi dans des phases de vie décousues, transitoires et il faut le dire, souffrantes. Sinon, il semblait que je n'en avais pas besoin ou pas quotidiennement. Parfois, j'ai des pensées des ressentis particuliers et je re-décore ce journal, de positivité et de dessein ces fois-là, et ce n'est désormais plus que ça.
Comme vous le dîtes avec une certaine justesse, tenir un journal donne l'air d'un moment accordé avant l'urgence d'autres. Au début, c'est l'assiduité, puis les pages se font délaisser au profit d'autres priorités, et l'exercice -le moment d'introspection pour la rétrospective- se désagrège.
Au final, ça me donne à penser que ce doit être une pratique édifiante et qu'elle doit signifier quelque chose, avoir un réel sens, un ajout à notre vie. Sans ça, le journal a tendance à se faire oublier quelque part...
Jackie H 1 mese fa
Votre dernier paragraphe me paraît être un assez bon diagnostic 🙂
En tout cas il semble que nous ayons des vécus très proches en la matière 🙂
De nouveau revient l'idée que quand on tient un journal, c'est quand ça va mal, mais que quand on le fait, on veut le faire au départ pour *améliorer* quelque chose ou pour *réfléchir* dessus mais que finalement, on en arrive à le faire pour *se libérer* de quelque chose et qu'une fois qu'on l'a fait, on a tendance à laisser tomber ce journal parce qu'il a cessé d'être une priorité - parce qu'il n'apporte plus rien...
Marissa Brugallé 1 mese fa
Exactement, le journal sonne comme un outil, qui vise à atteindre un état d’être meilleur, un « soi » prochain qui pourra s’en délester. Je le vois comme un accompagnant finalement, une sorte d’épaule où l’on peut échouer qui sera toujours là ☺️
Philippe Schoepen 1 mese fa
J'ai tenu un journal intime pendant 20 ans, j'écrivais quand je n'allais pas bien. Un bug informatique l'a fait disparaitre et depuis je vais mieux.
Jackie H 1 mese fa
Faut-il conclure de votre dernière phrase que ce bug informatique qui a "éliminé" votre journal vous a permis d'aller mieux et de vous délivrer de lui comme de son contenu que vous auriez eu tendance à ressasser ? dans une perspective "digestive" telle qu'évoquée par Arthyyr ? (après tout, on parle bien de "digérer" les événements dans la langue française, ce n'est pas gratuit non plus... je témoigne que journal tout comme pensée réflexive plus tardive peuvent y aider... et qu'il s'agit d'une "digestion" transformatrice autant que productrice, tout comme l'autre...)
Aline Gendre 1 mese fa
Incapable de tenir un journal. Trop impulsive et intranquille pour cela. Pas la rigueur pour.
Mais j'ai fait l'épreuve de cette pensée réflexive en écrivant un blog sur un temps : j'écrivais mes réflexions et événements de vie pour être lue dans l'immédiateté.
Le choix des mots avait un poids. Et plus j'avançais dans l'élaboration de l'article, plus ma pensée s'étoffait. Cela me servait de catharsis mais aussi, je voulais être au plus juste pour témoigner.
J'aurais adoré vivre cette pensée réflexive et la nourrir dans / par une continuité de correspondance privilégiée.
J'ai l'impression que ce serait bien plus beau, profond, et efficient sur le moment, qu'un journal intime. En tout cas, pour moi.
Luce 1 mese fa
il y a eu beaucoup de travail pour remanier et romancer ce qui était sorti brut🤣
Jackie H 1 mese fa
Les blogueurs étaient parfois appelés "diaristes" aux tout débuts des blogs 🙂
À mon avis, ce qui change entre un blog et un journal intime, ce sont les commentaires, c'est l'apport du regard des autres...
Luce 1 mese fa
moi ça sortait tout seul… et j’ai fini par en faire un livre 😅
Jackie H 1 mese fa
🙂🙂🙂 mais avec un objectif de régularité ? ou bien juste comme ça sortait au moment où ça sortait, aussi longtemps que ça sortait, et puis basta ?
Arthyyr 1 mese fa
Si cela me démange, je me gratte. C'est un peu comme ça que je vois un journal. Donc pas de pensée (et probablement encore moins reflexive) pour moi. C'est de l'ordre de l'instinct. Et ce qui est écrit n'est pas nécessairment écrit pour être lu ou relu. Dans ces conditions, est-ce toujours un journal....je ne sais pas 😊
Jackie H 1 mese fa
je dirai que c'est plus apparenté au genre d'écriture automatique que l'on sort parfois sous méditation voire hypnose dans le but d'évacuer certaines choses, écrits souvent brûlés symboliquement une fois produits d'ailleurs... donc là effectivement le but n'est pas de réfléchir, ni de mesurer un progrès,ni de garder une trace, mais au contraire d'éliminer... d'exprimer pour pouvoir éliminer puis dépasser...
Arthyyr 1 mese fa
"éliminer"...un phénomène plus digestif que reflexif, effectivement.