

#Coulisses du #podcat de #lanouvelleolympe : Muse
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#Coulisses du #podcat de #lanouvelleolympe : Muse
Muse…
Du reste, il suffit de s’en remettre aux animaux.
ELLE ignorait ce que représentait l’animal-humanisation, en vrai. C’est en suivant l’actualité de Cécile Guilbert, qu’ELLE a découvert le formidable ouvrage : “Animal & Cie” que l’auteure (autrice ? perso, j’suis pas trop fan) et essayiste, et son mari photographe, dessinateur et peintre, ont publié en 2011, comme contrepoint aux violences quotidiennes. On était loin de soupçonner alors, que se profilaient le Grand Virus Planétaire et le confinement, le vaccin et le pass sanitaire, un terrorisme rémanent, le magnétisme des faits divers et de société, des hashtags comminatoires et autres prises de parole numériques plus acérées que les dents d’un requin. Ce beau livre, dont ELLE avait rédigé une chronique dans le mensuel où ELLE écrivait de temps en temps : Service Littéraire (fait par les écrivains), restituait avec talent et vérité, les relations étranges, inquiétantes et fascinantes que l’humain entretient avec l’animal. On s’émeut comme un respire, en tournant les pages qui font voyager des rues de Paris aux faubourgs d’Inde, des places d’Italie aux blocs de New York. Un bestiaire en noir et blanc, dépouillé et minimaliste, qui rappelle l’existence de droits et de devoirs réciproques entre les hommes et les animaux. Question de dignité. En refermant, ELLE se sentait en paix avec le monde. Animal-humanisée. ELLE avait même cru que Cécile Guilbert l’avait rédigée rien que pour ELLE, sa préface : Humanimal, dont ELLE m’avait lu cet extrait : “Car l’animal incarne pour ses autres frères vivants et par excellence, la figure du ‘manque’. (…) De prunelle à prunelle, point de rapports collectifs possibles avec les animaux donc, mais seulement le mystère d’un face-à-face : celui de deux solitudes échangeant leurs singularité non communicantes mais ‘communiantes'”. Sa copine Nathalie lui avait d’ailleurs fait remarquer : Ton chat et toi, c’est la réunion de deux solitudes, deux âmes solitaires dont l’une devient nécessaire à l’autre. Comme tous ses amis, Nathalie vivait en compagnie d’animaux de
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