

Jeter la première pierre
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Jeter la première pierre
Cette fois-ci, je retrouve mon ami Aravinda après six mois, sur le terrain de sport derrière le musée de Kurunduwatte. Il adore débattre avec moi, peu importe le sujet. Lui, il n'aime pas trop réfléchir ni se casser la tête; au contraire, il préfère défendre aveuglement ses idées traditionnelles, comme un coq dans un combat. Bien qu'il apprécie les bonnes choses et déteste les mauvaises, il juge le bien et le mal comme la plupart des gens traditionnels.
Absorbant l'humidité sous le soleil brûlant, la pelouse, douce comme un tapis bleu, restait tiède tout au long de la journée. La chaleur était si intense que même le vent nous rafraîchissait à peine. Les bruits et les rires des jeunes domestiques courant ici et là sur le terrain, ainsi que des enfants de leurs propriétaires, ne


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Charitha Liyanage 4 mesi fa
Tu as posé des questions importantes sur l’inspiration de Martin Wickramasinghe et le contexte de ses écrits. En effet, en tant que journaliste dans un grand journal sri-lankais, Wickramasinghe s’appuyait souvent sur des faits divers et des réalités sociales pour ses nouvelles. Il s’inscrit dans la tradition réaliste, inspirée par Maupassant, et ses histoires reflètent bien les défis de la société sri-lankaise, en particulier ceux auxquels les femmes étaient (et sont parfois encore) confrontées.
Quant au statut des femmes enceintes non mariées au Sri Lanka, malheureusement, peu de choses ont changé. Dans de nombreux cas, ces femmes sont encore perçues de façon négative et peuvent subir des jugements sévères de la société. Bien que certaines femmes aient aujourd’hui des rôles influents grâce à l’éducation gratuite, une grande majorité fait toujours face à des normes sociales strictes qui limitent leurs choix.
Ainsi, la place des femmes au Sri Lanka reste complexe : d’un côté, des avancées significatives pour certaines ; de l’autre, des difficultés qui perdurent pour beaucoup. Wickramasinghe, à travers ses écrits, cherchait probablement à exposer cette réalité, entre progrès et traditions bien ancrées.
Jackie H 1 mese fa
Désolée de t'avoir fait attendre aussi longtemps Charitha ☺️ mais je ne t'ai pas oubliée, mon commentaire sous forme d'article est resté bien au chaud et maintenant le voici 🙂 :
https://panodyssey.com/fr/article/societe/jeter-la-premiere-pierre-fpnmmn3cbeaj
Jackie H 4 mesi fa
Ma réponse est décidément trop longue, je la posterai en article séparé et je reviendrai en donnerle lien ici en réponse à ce commentaire 🙂
Charitha Liyanage 4 mesi fa
J'ai hâte de lire ton commentaire sous forme d'article. C'est une nouvelle publiée en 1935! Assiste-t-on à des transformations majeures dans la société ?
Jackie H 4 mesi fa
À mon (très) humble avis (qui n'engage que moi), pas vraiment... 😕
Jackie H 4 mesi fa
Je voudrais quand même, avant de publier mon article, m'assurer d'une chose. J'avoue que sur le moment même, j'étais tellement choquée du traitement des deux femmes enceintes dont il était question dans cette nouvelle que j'ai réagi à chaud... perdant ainsi de vue qu'il s'agissait en fait de la traduction d'une œuvre littéraire 🙂. Je voudrais donc savoir si dans sa nouvelle, Martin Wickramasinghe s'est inspiré en l'occurrence de faits divers réels ? Et si oui, si de tels faits sont encore susceptibles de se produire aujourd'hui ou bien s'ils l'étaient encore dans un passé plus récent (disons, une trentaine d'années ou encore moins) ?