Ces gens-là
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Ces gens-là
D'après Jacques Brel
Dans un petit village reculé, vivait une famille que tout le monde connaissait mais que personne n’osait approcher. Ils habitaient une vieille maison délabrée au bout de la rue principale. Les gens du village les appelaient “les Dupont”.
Monsieur Dupont, le père, était un homme sévère et autoritaire. Il passait ses journées à boire et à crier sur ses enfants. Madame Dupont, quant à elle, était une femme effacée, toujours en train de pleurer en silence. Elle avait perdu tout espoir de voir un jour sa famille heureuse.
Leur fils aîné, Jean, était un rêveur. Il passait ses journées à écrire des poèmes et à jouer de la guitare. Il rêvait de quitter ce village et de vivre une vie meilleure, loin de la tyrannie de son père. Mais il n’avait pas le courage de partir, de peur de laisser sa mère et ses frères derrière lui.
Leur fille, Marie, était une jeune femme douce et aimante. Elle prenait soin de ses frères et sœurs comme une mère. Elle rêvait de trouver l’amour et de fonder sa propre famille, mais elle savait que tant qu’elle vivrait sous le toit de ses parents, ses rêves resteraient inaccessibles.
Un jour, un étranger arriva au village. Il était musicien et cherchait un endroit où se reposer. En entendant parler de Jean et de son talent pour la musique, il décida de lui rendre visite. Jean et l’étranger devinrent rapidement amis, et Jean trouva enfin le courage de quitter sa famille pour poursuivre ses rêves.
Avec l’aide de l’étranger, Jean partit pour la ville, où il devint un musicien célèbre. Il n’oublia jamais sa famille et envoyait régulièrement de l’argent à sa mère et à ses frères et sœurs. Marie, quant à elle, trouva enfin l’amour et quitta la maison familiale pour vivre une vie heureuse.
Quant à Monsieur et Madame Dupont, ils continuèrent à vivre dans leur vieille maison, mais quelque chose avait changé. La présence de l’étranger et le départ de Jean avaient apporté un peu de lumière dans leur vie sombre. Monsieur Dupont commença à boire moins et à traiter sa famille avec un peu plus de respect. Madame Dupont, elle, retrouva un peu de joie en voyant ses enfants heureux.
Illustration générée par Copilot
Jackie H il y a 2 mois
"Faut vous dire, Monsieur, que chez ces gens-là
Faut qu'on s'en aille Monsieur, faut qu'on s'en aille
Si on veut vivre" 😉