Le retour du Grand Schtrump et autres scénarios contrariants
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Le retour du Grand Schtrump et autres scénarios contrariants
Le scenario officiel des autorités et des marchés boursiers
Noël arrive et l’euphorie boursière semble vouloir jouer les prolongations malgré les dégâts économiques et sociaux causés par la gestion de la crise sanitaire du Covid-19. Selon un certain consensus, cette continuation du bull market trouverait ses raisons dans la conviction qu’auraient les marchés d’un prochain retour à la normale. Cette heureuse perspective nous serait gracieusement offerte par l’arrivée incessante de vaccins miracles et serait soutenue par le comportement anticipé des acteurs de l’économie qui, tout en rongeant leur frein, ne songeraient qu’à une chose : rattraper le temps perdu dès que ledit retour à la normale sera officiellement inauguré par les autorités et leurs organes de propagande officieux. Je fais ici référence aux Main Stream Médias ou MSM que certains esprits farceurs n’hésitent dorénavant plus à qualifier de "Merdias".
Examinons aujourd’hui s’il pourrait exister des circonstances ou évènements dont la survenance inattendue pourrait le cas échéant faire douter Wall Street dans ses convictions. La Messe semble tellement dite que l’idée même qu’un scénario aussi bien huilé puisse dérailler pourrait apparaître comme parfaitement complotiste aux yeux de ces esprits brillants de la finance, assis derrière leurs ordinateurs et jouant avec des algorithmes qui leur font office de boule de crystal. Mais prêtons-nous néanmoins à l’exercice pour le sport.
Je vois au moins deux hypothèses de sortie de rail, qui apparemment semblent avoir échappé aux experts et autres diseurs de bonne aventure dont semblent dorénavant regorger la presse financière et les MSM, épaulés par une multitude de fact checkers, censeurs et autres débunkers de service.
Je m’émerveille au passage de l’émergence de cette engeance spontanée qui a récemment fleuri comme des chardons sur du fumier et qui veille à contenir tout débordement de pensée qui pourrait émaner d’esprits chagrins mals informés. On ne savait même pas qu’ils existaient il y a peu et tout d’un coup on ne fait plus référence qu’à eux pour mieux étaler son ignorance. Hier inexistants et aujourd’hui à nous dicter notre offuscation bien-pensante face à tout ce que nos âmes sensibles (pour ne pas dire notre confinement mental) ne supportent plus. A plus forte raison quand il s’agit de vérités, surtout quand elles blessent, comme le dit si justement le dicton.
Les conditions nécessaires au retour à la normale
Mais avant d’évoquer plus avant ces deux hypothèses, reprenons le scénario dont se nourrit l’actualité et surtout analysons les présupposés nécessaires à la réalisation de ce scénario de retour à la normale. Car même s’il existe toujours quelques attardés du bulbe qui avalent comme du pain béni tout ce que la Presstituée leur régurgite après l’avoir prémâché, il convient de se féliciter que la faculté de discernement et d’analyse dont nous a généreusement doté le Créateur est encore considérée comme de quelque utilité en ce bas monde par certains d’entre nous.
Le scénario apparemment envisagé par nos dirigeants et sur lequel les marchés s’évertuent à parier semble être le suivant : des vaccins efficaces et non nocifs, prêts incessamment sous peu, vont rapidement nous permettre de mettre cette crise derrière nous, vont être mis à la disposition du monde entier, en quantités suffisantes et le bon peuple va se ruer dessus afin de pouvoir se débarrasser de la hantise du virus et des contraintes imposées par les mesures dites sanitaires, lesquelles vont enfin pouvoir être levées. Du coup on va pouvoir voyager, aller au resto et s’amuser comme avant. On va même en faire deux fois plus pour fêter tout cela.
Peut-être avez-vous déjà tiqué à cet énoncé, mais il me semblait utile de souligner que seul un tel scénario pourrait légitimement justifier un pareil enthousiasme des bourses. A moins que je n’aie raté quelque chose, car je ne vois pas pour quelle autre raison censée les bourses continueraient à grimper dans le contexte actuel.
Mais on voit déjà le hic !
Les vaccins seront-ils vraiment efficaces, est-on sûr qu’ils ne sont pas nocifs, seront-ils disponibles en quantités suffisantes, la population sera-t-elle d’accord de s’inoculer dans des proportions généreuses, une vaccination même généralisée va-t-elle empêcher de tomber malade et/ou d’être contagieux, va-t-on vraiment pouvoir abandonner le masque et les mesures de distanciation sociale avec leur lot d’autres contraintes une fois vaccinés, etc….En d’autres termes va-t-on vraiment pouvoir retourner à la normale et y aura-t-il en définitive véritablement de bonnes raisons de célébrer?
Il a été intéressant d’observer, d’une part, la valse-hésitation sur la question de rendre le vaccin obligatoire ou non et de décrypter, d’autre part, les réponses et réactions face aux interrogations légitimes qui ont été soulevées quant au réalisme du scénario de retour à la normale. Dans un premier temps, il a beaucoup été question de rendre la vaccination obligatoire, entre les préconisations de grands penseurs comme Bill Gates (of Heaven) et les lois promulguées dans ce sens par certains pays comme la Hollande. Puis, devant la levée de bouclier de la populace, qui a eu l’audace de se retrancher derrière des notions iconoclastes et aussi désuettes que le serment d’Hippocrate - qui laisserait entendre qu’un patient pourrait prétendre à ce que son consentement soit requis pour tout traitement -, les gouvernements ont lâché du lest. La vaccination ne sera donc à priori pas obligatoire. Embêtant, après que les États aient dépensé des milliards de dollars pour acheter les futures doses à inoculer à plusieurs reprises dans des milliards de « fesses ».
Les sondages auprès des populations concernées laissent également entendre que le bon peuple pourrait ne pas se jeter sur le vaccin comme la misère sur le pain. A force d’entendre des trouble-fêtes expliquer que les vaccins ne seraient peut-être pas tout à fait au point, en raison de nouvelles approches jamais testées sur l’homme comme l’ARN messager et faute de recul suffisant, le chaland semble être devenu plus difficile à convaincre.
Les autorités ont tout de suite trouvé la parade en s’engageant à ce que tous les politiciens et responsables médicaux qui prônent la vaccination fassent office de cobaye pendant une période de latence de quelques mois afin de s’assurer qu’aucun effet secondaire indésirable ne se produise et pour rassurer quant à l’efficacité et l’innocuité des vaccins. Les entreprises pharmaceutiques ont aussi immédiatement confirmé qu’elles cédaient les brevets de leurs vaccins pour en faire un bien commun pour l’Humanité selon la suggestion de Muhammad Yunus et renonçaient à toute profitabilité odieusement faite sur le dos de la santé humaine.
Alors je viens de me rendre compte, qu’emporté par mes idéaux de doux rêveur et ma personnalité optimiste, je venais de basculer de l’article de fond que je m’étais promis d’écrire à de la pure science-fiction pour beatniks sous infusion d’herbes rigolotes. Veuillez m’en excuser et ne pas tenir compte du paragraphe qui précède.
Donc je reviens à la raison et je reprends : les autorités ont tout de suite trouvé la parade en s’engageant à ce que tous les laboratoires pharmaceutiques soient exonérés de toute responsabilité en cas d’effets secondaires. Il semblerait que le décès soit compris dans cette acceptation large de la définition "d’effets secondaires". On est évidemment tout de suite rassuré que ce soit l’État qui accepte en lieu et place des labos d’assumer la responsabilité en cas de problèmes. Et on l’est encore davantage quand les débunkeurs nous expliquent qu’il n’y a pas de conflit d’intérêt à ce que ce soit l’État qui pousse à la vaccination tout en nous assurant qu’il déterminera dans quel cas sa responsabilité pourrait être engagée en cas de pépin. Quiconque y verrait un cas patent de « juge et partie » n’est évidemment qu’un vilain complotiste.
La vérité sort de la bouche des…….experts
J’ai beaucoup aimé l’interview sur RMC par Bourdin du Professeur Arnaud Fontanet, membre du Conseil Scientifique, qui affirme que la vaccination n’est pas 100% efficace, qu’on peut être contaminés et/ou contagieux même en ayant pris le vaccin, qu’il y aura toujours des effets indésirables, dont certains graves, qu’on ne sait pas combien de temps on va être protégé après sa prise et que le retour à la normale ne sera envisageable que si toute la population se vaccine. Tout un programme. Un merveilleux communicateur en tout cas que ce Professeur Fontanet. On en reprendrait presque !
Mais heureusement, assistés par de brillants experts, les États ne perdraient pas le Nord pour autant. Est-ce alors un hasard si certaines compagnies comme Quantas ont déjà lâché que nul ne volerait s’il n’était point vacciné ? Jamais on ne pourrait suspecter Quantas, dont la santé financière resplendissante assure sa parfaite indépendance, d’être sous pression de diffuser des messages avant-coureurs comme le ferait un fidèle porte-parole du gouvernement australien. Est-ce qu’une telle annonce justifie les rumeurs que la stratégie des gouvernements pourrait être de ne forcer personne à se faire vacciner, mais consisterait à interdire l’accès à certains endroits à ceux qui ne souhaiteraient pas prendre le vaccin? Les lieux que l’État contrôle directement comme l’école, les transports publics ou les bâtiments administratifs ou indirectement comme les transports aériens ou les services hospitaliers, ou même très indirectement, par le biais d'amendes en cas de non respect, pour tous les autres lieux, comme les commerces privés.
J’en reviens donc à ma première hypothèse de déraillement du scenario de retour à la normale. Est-il envisageable que la vaccination ne fasse non seulement pas l’unanimité mais qu’une proportion bien trop importante de la population la refuse? Et dans ce cas, est-il envisageable que les autorités restreignent l’accès à certains lieux, activités ou services faute d’être vacciné ? Et si oui, jusqu’où seraient-elles prêtes à aller pour s’assurer d’une couverture vaccinale satisfaisante à leurs yeux ?
La question qui peut tout changer
Il me semble que ce risque d’une nouvelle couche de règles liberticides est non-négligeable. Dans ce cas, la seule vraie question pertinente que devraient se poser les analystes serait d’interroger tous les patrons d’entreprises, publiques ou privées, et de leur demander s’ils accepteraient de ne laisser leurs employés et/ou clients entrer dans leur enceinte qu’à la condition préalable qu’ils aient opté pour le vaccin. Peu probable, vous dites? C’est pourtant ce que la plupart des entreprises on été d'acccord de faire pour les masques, certes sous la menace d'amendes salées en cas de refus, mais on n'a pas vu de résistance massive. Mais cela passera-t-il de la même façon pour les vaccins? Toute la question est là!
Je serais un juriste d’entreprise, je m’interpellerais quand même sur la question de la responsabilité de l’entreprise en cas d’effets secondaires chez mes employés à qui j’aurais « imposé » le vaccin. Et je m’inquiéteraient des procès que me feraient tous les réfractaires à qui j’aurais dit que s’ils voulaient venir au travail, il faudrait qu’ils soient d’abord vaccinés. Et si j’étais juriste à l’État, je m’interrogerais sur l’opportunité d’étendre à toutes les entreprises du pays une exonération de responsabilité en cas de problèmes, pour légalement laisser l’État l’endosser en lieu et place. Et ce, sans l’accord du contribuable, mais néanmoins avec ses impôts…..Et pour corser le tout, si j’étais patron de banques, je serais bien embêté de défendre la liberté de choix en matière de traitements médicaux de mes employés tout en assurant à mes clients que les marchés vont continuer à être dans le vert, selon un scenario de retour à la normale qui supposerait que je m’assure que tous mes employés et clients soient bien vaccinés.
Je comprends que les autorités soient pareillement enragées lorsqu’un documentaire comme Hold Up, visionné plusieurs millions de fois, mets en exergue quelques incohérences dans le narratif officiel. Des fois que le capital de Mougeons et Tontruches sur lequel elles pensaient pouvoir compter pour ce retour à la normale, à la sauce Fontanet, venait à s’étioler, voire à se rebeller.
L’autre grain de sable potentiel dans les rouages
Mon autre hypothèse, dont je ne sais pas quel effet elle pourrait avoir sur un éventuel retour à la normale, est celui d’une victoire décidée par la cour Suprême des États-Unis du Grand Schtrump. Est-il envisageable que l’entourage de Joe Bidet soit plus proche du cachot que de la présidence, après les allégations d’élection truquée grâce à des machines de comptage des votes Dominion qui auraient été pilotées depuis un Black Site lié à la CIA à Francfort ?
Si cela paraît un peu fort de café pour certains, le fait est que les mécanismes prévus par la loi américaine stipulent, qu’en cas de désaccord sur le vainqueur - ce que pourrait très bien décréter la Cour Suprême qui est en majorité républicaine -, c’est le Sénat qui élit le Vice-Président et le Congrès qui élit le Président. Mais attention, pas en fonction du nombre de membres (car dans ce cas le Congrès étant majoritairement démocrate, Joe Bidet serait élu), mais selon la règle prévue par la Constitution donnant un seul vote à chacun des 52 états, sans tenir compte de la population de chaque état. Or à ce jeu, plus d’états étant à majorité républicaine, le Grand Schtrump l’emporterait.
Même si Joe Bidet et ses amis devaient échapper au détartrage et finir par présider aux destinées de notre planète, est-on assuré que le Grand Schtrump ne se fendra pas d’un baroud d’honneur avant de céder sa place ? Et peut-on exclure que son dernier tour de piste ne contienne pas son lot de révélations qui pourraient en faire tomber plus d’un. N’a-t-il pas en ses mains les laptops de Hunter Biden, d’Anthony Weiner et de Jeffrey Epstein et Ghislaine Maxwell ainsi que quelques archives restées secrètes sur l'assassinat de Kennedy et sur September 11 ? Aura-t-on vraiment un retour à la normale après l'éventuelle révélation de leur contenu ?
Il est aussi dit que le propre fils du Grand Schtrump aurait souffert de problèmes de santé liés à des vaccins. Si tel devait être le cas, est-il envisageable que le soutien affiché par le Grand Schtrump aux programmes de vaccination n’ait été qu’une façade pour mieux faire tomber la Big Pharma, dont on murmure que Fauci ne serait qu’un porte-parole que le Grand Schtrump se régalerait de s’offrir en pâture après que ce dernier l’ait contredit sur l’hydroxychloroquine ? Bon, arrêtez-moi, avant que je ne retourne à mes pulsions de scribouillard de science-fiction…..
Le 4 décembre 2020